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Polyplacophora

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Polyplacophora
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Polyplacophores, Chitons, Oscabrions

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Pour les articles homonymes, voir Chiton (homonymie).

Polyplacophora
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Tonicella lineata
Classification ITIS
Règne Animalia
Sous-règne Bilateria
Infra-règne Protostomia
Super-embr. Lophozoa
Embranchement Mollusca

Classe

Polyplacophora
Blainville, 1816

Synonymes

  • Amphineura
  • Loricata Schumacher, 1817

Classification phylogénétique

Position :
  • mollusques
    • solénogastres
    • caudofovéates
    • eumollusques
      • polyplacophores
      • conchifères
        • monoplacophores
        • ganglioneures
          • viscéroconques
            • gastéropodes
            • céphalopodes
          • diasomes
            • bivalves
            • scaphopodes

Les polyplacophores (Polyplacophora), ou chitons, ou oscabrions, sont une classe de mollusques brouteurs dont la coquille est composée de 7 ou 8 plaques articulées. Ces plaques sont en aragonite (carbonate de calcium cristallisé et biosynthétisé). C'est la constitution de la coquille en plaques multiples qui fait appeler ces animaux polyplacophores.

Le terme chiton dérive du grec ancien χιτών [chitōn], qui désigne ce qui enveloppe, la χιτωνίσκος [chitōniscos] étant une sorte de tunique pour femme. Il est également à l'origine du mot chitine. Le terme polyplacophore a été formé à partir des mots grecs poly- (plusieurs), plako- (plaques), et -phoros (transport). Les chitons furent étudiés pour la première fois par Carl von Linné en 1758. Depuis sa description des quatre premières espèces, les chitons ont été classés dans différents groupes dont les mollusques. Ils ont été appelés cyclobranches (« bras arrondi ») au début du XIXe siècle puis groupés alors avec les aplacophores dans le sous-phylum des Polyplacophora en 1876. La classe des polyplacophores a été introduite par J. E. Gray en 1821.

Caractéristiques

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Face interne du chiton Cryptochiton stelleri, montrant le pied au centre, entouré des branchies et du manteau (avec bouche visible à gauche de l'image)
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Éléments de la carapace articulée d'un chiton ()
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Chiton de Turquie
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Certaines espèces comme ont leurs plaques entièrement recouvertes par le manteau.

Benthiques, ils se déplacent par reptation grâce à leur pied large (également appelé sole de reptation).

La coquille dorsale qui protège les chitons est constituée d'aragonite, multicolore, décorée de motifs, lisse ou sculptée. L'aragonite constitue aussi la lentille de leurs yeux.

Alors que leur corps n'est pas métamérisé, leur coque dorsale est segmentée : elle est formée de huit plaques calcaires articulées (également appelées valves) enveloppées dans la ceinture musculaire également sécrétée par le manteau. Cette disposition permet aux chitons de se rouler en boule en cas de danger et de s'accrocher sur des surfaces irrégulières. Au niveau de la ceinture, les tissus palléaux sécrètent des spicules calcaires, des écailles calcaires ou des soies chitineuses (voire les trois).

La plus grande partie du corps est un pied similaire à celui des escargots, mais ni tête ni autre partie molle au-delà de la ceinture musculaire ne sont visibles depuis le dos de l'animal. Entre le corps et la ceinture, il y a la cavité palléale, connectée à l'extérieur par des canaux aquifères. Le canal latéral est le canal aquifère entrant. Celui qui est attaché à l'anus est le canal aquifère sortant. Les branchies pendent dans la cavité palléale, rarement près de l'anus. La tête possède une bouche dans laquelle se trouve une sorte de langue appelée radula, qui possède de nombreuses rangées de 17 dents chacune et a pour rôle de racler des algues microscopiques posées sur le substrat. Ces dents sont enduites de magnétite, un biominéral ferreux qui les rend plus dures que l'acier. Elles font l'objet de recherche pour développer des biomatériaux (greffe osseuse, couche de finition industrielle).

Une grande originalité des chitons est leur système visuel. Tous ont des structures sensibles à la lumière, appelées esthètes ou mégalesthètes. Ce sont des cavités tubulaires microscopiques traversant la carapace, dont le fond est sensible à la lumière. L'ensemble de ces esthètes fonctionnerait comme un œil composé, capable de repérer des ombres. Une centaine d'espèces environ ont jusqu'à un millier de véritables yeux, en plus des esthètes,. Chaque œil, également en forme de cavité microscopique dans la carapace, possède une lentille en aragonite polycristalline et une rétine pouvant comporter jusqu'à 100 cellules photosensibles. Des expériences suggèrent que les chitons sont capables de reconnaître des formes. Au cours de la vie de l'animal, esthètes et yeux sont régulièrement érodés et remplacés.

Le plus grand chiton jamais observé (30 cm de long) est un chiton rose du Nord-Ouest du Pacifique.

Habitat, répartition

Les quelque 900 espèces recensées dans les océans mondiaux vivent essentiellement dans la zone intertidale et les mers continentales peu profondes, mais quelques espèces peuvent se trouver jusqu'à des profondeurs pouvant atteindre 6 000 m.

Dans les milieux artificiels

Dans les ports, sur les jetées et digues ou éléments artificiels de la zone intertidale, ils colonisent mal les substrats lisses, et plus facilement les supports complexes riches en fentes et creux. Il semble facile d'améliorer la capacité d'accueil des murs et digues artificiels, pour de nombreuses espèces de polyplacophores ou crabes par exemple) en complexifiant leur surface.

Mode de vie

Les chitons mangent des algues, des bryozoaires, des diatomées et parfois des bactéries en raclant le substrat rocheux à l'aide de leur radula bien développée. Certaines espèces ont une ceinture élargie à l'avant et se fixent sur d'autres animaux. Certains chitons ont un comportement casanier, retournant au même endroit le jour et se déplaçant pour se nourrir la nuit.

Leurs prédateurs sont les mouettes, les étoiles de mer, les crabes et les anémones de mer.

Reproduction

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Développement d'un polyplacophore, de gauche à droite : Stade larve trochophore, larve en métamorphose, polyplacophore juvénile

Leur reproduction est typique des mollusques avec une fécondation externe et une embryogenèse qui se déroule dans l'eau de mer pour donner une larve planctonique trochophore. La larve se dirige ensuite vers les fonds, perd ses cils et devient un juvénile benthique.

Liste des ordres

La plupart des classifications actuelles est basée, au moins en partie, sur le Manuel de Conchyologie de Pilsbry (1892-1894), révisé par Kaas et Van Belle (1985-1990). Les chitons ont été divisés en chismobranches et colyplaxiphores au début du XIXe siècle. Cette classe groupe environ 900 espèces actuellement connues.

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Acanthopleura granulata
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Débris de l'armement d'un Chiton tuberculatus des Antilles (pièces antérieures en haut).

Selon World Register of Marine Species (12 janvier 2017) et BioLib (12 janvier 2017) :

  • sous-classe Neoloricata Bergenhayn, 1955
    • ordre Chitonida Thiele, 1909
      • sous-ordre Acanthochitonina Bergenhayn, 1930
        • super-famille H. Adams & A. Adams, 1858
          • famille Acanthochitonidae Pilsbry, 1893
          • famille H. Adams & A. Adams, 1858
          • famille Sirenko, 1997
          • famille Sirenko & Dell'Angelo, 2015 †
        • super-famille Dall, 1889
          • famille Ashby, 1928
          • famille Iredale, 1914
          • famille Mopaliidae Dall, 1889
          • famille Bergenhayn, 1955
          • famille Simroth, 1894
      • sous-ordre Chitonina Thiele, 1909
        • super-famille Rafinesque, 1815
          • famille Pilsbry, 1893
          • famille Plate, 1901
          • famille Plate, 1899
          • famille Chitonidae Rafinesque, 1815
          • famille Ischnochitonidae Dall, 1889
          • famille Iredale & Hull, 1923
        • super-famille Dall, 1889
          • famille Schizochitonidae Dall, 1889
    • ordre Thiele, 1909
      • sous-ordre Lepidopleurina Thiele, 1909
        • famille Dell'Angelo & Palazzi, 1989
        • famille Bergenhayn, 1955
        • famille Dall, 1889
        • famille Sirenko, 1992
        • famille Ashby, 1925 †
  • sous-classe †
    • ordre †
    • ordre Bergenhayn, 1955 †
    • genre Sutton & Sigwart, 2012 †
    • genre †
Autres classifications

La classification suivante est celle de Parker, S. P. :

  • classe Amphineura
    • Sous-classe Polyplacophora
      • ordre Neoloricata
        • sous-ordre Lepidopleurina
          • famille
          • famille
          • famille
        • sous-ordre Ischnochitonina
          • famille
          • famille Ischnochitonidae
          • famille
          • famille
          • famille
          • famille
          • famille Mopaliidae
          • famille Schizochitonidae
          • famille Chitonidae
        • sous-ordre Acanthochitonina
          • famille Acanthochitonidae

Classification méthode I :

  • classe Polyplacophora
    • ordre Neoloricata
      • famille . Inclut le genre Leptochiton
      • famille
      • famille Ischnochitonidae. Inclut les genres , , , , et
      • famille Mopaliidae
      • famille Chitonidae. Inclut le genre Chiton
      • famille
      • famille Acanthochitonidae. Inclut les genres ,
 
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    (Acanthochitonidae)
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    Tonicella lineata (Mopaliidae)
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    (Ischnochitonidae)
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Voir aussi

Sur les autres projets Wikimedia :

  • Polyplacophora, sur Wikimedia Commons
  • Polyplacophora, sur Wikispecies

Bibliographie

  • (en) Okusu, A., Schwabe, E., Eernisse, D.J. & Giribet, G., 2003. Towards a phylogeny of chitons (Mollusca, Polyplacophora) based on combined analysis of five molecular loci. Organisms Diversity & Evolution, 3 (4), 281-302. DOI  Résumé

Articles connexes

  • Arbre phylogénétique
  • Classification phylogénétique
  • Mollusca (classification phylogénétique)
  • Biologie marine
  • Biominéralisation
  • Aragonite

Liens externes

  • (en) Galerie de photos de chitons
  • (en) Article sur la phylogénie des chitons

Références taxonomiques

  • (en) WoRMS : Polyplacophora Gray, 1821 (+ liste ordres + liste familles)
  • (en) BioLib : Polyplacophora de Blainville, 1816
  • (fr + en) ITIS : Polyplacophora
  • (en) Tree of Life Web Project : Polyplacophora
  • (en) Animal Diversity Web : Polyplacophora
  • (en) NCBI : Polyplacophora (taxons inclus)

Notes et références

  • Cet article est partiellement ou en totalité issu de l'article intitulé « Chiton » (voir la liste des auteurs).
  1. Informations lexicographiques et étymologiques de « Chiton » dans le Trésor de la langue française informatisé, sur le site du Centre national de ressources textuelles et lexicales
  2. « Le mollusque aux yeux de pierre », sur Pourlascience.fr, Pour la Science (consulté le 5 septembre 2020).
  3. André Chavan, Les Mollusques et leur détermination, Société d'édition d'enseignement supérieur, 1966, p. 32
  4. « image », sur www.animalnetwork.com
  5. Jeremy Shaw, Tough mollusc teeth give bite to new research, The University of West Australia, 19 janvier 2009.
  6. (en) Elisabeth Pennisi, « Crystalline eyes of chitons inspire material scientists », Science, vol. 350, no 6263,‎ 20 novembre 2015, p. 899
  7. (en) Ling Li, Matthew J. Connors, Mathias Kolle, Grant T. England, Daniel I. Speiser, Xianghui Xiao, Joanna Aizenberg et Christine Ortiz, « Multifunctionality of chiton biomineralized armor with an integrated visual system », Science, vol. 350, no 6263,‎ 20 novembre 2015, p. 952-956
  8. ↑ a b et cJ. Moreira, M.G. Chapman, A.J. Underwood ; Maintenance of chitons on seawalls using crevices on sandstone blocks as habitat in Sydney Harbour, Australia ; Journal of Experimental Marine Biology and Ecology, Volume 347, Issues 1-2, 24 August 2007, Pages 134-143 (Résumé)
  9. Andrée Tétry, « Polyplacophores », sur Encyclopædia Universalis (consulté le 6 janvier 2017).
  10. World Register of Marine Species, consulté le 12 janvier 2017.
  11. BioLib, consulté le 12 janvier 2017.
  12. (en) Classification based on in part: Parker, S. P. (ed.), 1982: Synopsis and classification of living organisms. Vols. 1 & 2. McGrew-Hill Book Company sur worldwideconchology.com, consulté le 19 novembre 2009
  13. Classification méthode I sur schnr-specimen-shells.com, consulté le 19 novembre 2009
  • image Portail des mollusques et de la malacologie

Auteur: www.NiNa.Az

Date de publication: 25 Mai, 2025 / 18:11

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Polyplacophores Chitons Oscabrions Pour les articles homonymes voir Chiton homonymie Polyplacophora Tonicella lineataClassification ITISRegne AnimaliaSous regne BilateriaInfra regne ProtostomiaSuper embr LophozoaEmbranchement Mollusca ClassePolyplacophora Blainville 1816 Synonymes Amphineura Loricata Schumacher 1817 Classification phylogenetique Position mollusques solenogastres caudofoveates eumollusques polyplacophores conchiferes monoplacophores ganglioneures visceroconques gasteropodes cephalopodes diasomes bivalves scaphopodes Les polyplacophores Polyplacophora ou chitons ou oscabrions sont une classe de mollusques brouteurs dont la coquille est composee de 7 ou 8 plaques articulees Ces plaques sont en aragonite carbonate de calcium cristallise et biosynthetise C est la constitution de la coquille en plaques multiples qui fait appeler ces animaux polyplacophores Le terme chiton derive du grec ancien xitwn chitōn qui designe ce qui enveloppe la xitwniskos chitōniscos etant une sorte de tunique pour femme Il est egalement a l origine du mot chitine Le terme polyplacophore a ete forme a partir des mots grecs poly plusieurs plako plaques et phoros transport Les chitons furent etudies pour la premiere fois par Carl von Linne en 1758 Depuis sa description des quatre premieres especes les chitons ont ete classes dans differents groupes dont les mollusques Ils ont ete appeles cyclobranches bras arrondi au debut du XIX e siecle puis groupes alors avec les aplacophores dans le sous phylum des Polyplacophora en 1876 La classe des polyplacophores a ete introduite par J E Gray en 1821 CaracteristiquesFace interne du chiton Cryptochiton stelleri montrant le pied au centre entoure des branchies et du manteau avec bouche visible a gauche de l image Elements de la carapace articulee d un chiton Chiton de TurquieCertaines especes comme ont leurs plaques entierement recouvertes par le manteau Benthiques ils se deplacent par reptation grace a leur pied large egalement appele sole de reptation La coquille dorsale qui protege les chitons est constituee d aragonite multicolore decoree de motifs lisse ou sculptee L aragonite constitue aussi la lentille de leurs yeux Alors que leur corps n est pas metamerise leur coque dorsale est segmentee elle est formee de huit plaques calcaires articulees egalement appelees valves enveloppees dans la ceinture musculaire egalement secretee par le manteau Cette disposition permet aux chitons de se rouler en boule en cas de danger et de s accrocher sur des surfaces irregulieres Au niveau de la ceinture les tissus palleaux secretent des spicules calcaires des ecailles calcaires ou des soies chitineuses voire les trois La plus grande partie du corps est un pied similaire a celui des escargots mais ni tete ni autre partie molle au dela de la ceinture musculaire ne sont visibles depuis le dos de l animal Entre le corps et la ceinture il y a la cavite palleale connectee a l exterieur par des canaux aquiferes Le canal lateral est le canal aquifere entrant Celui qui est attache a l anus est le canal aquifere sortant Les branchies pendent dans la cavite palleale rarement pres de l anus La tete possede une bouche dans laquelle se trouve une sorte de langue appelee radula qui possede de nombreuses rangees de 17 dents chacune et a pour role de racler des algues microscopiques posees sur le substrat Ces dents sont enduites de magnetite un biomineral ferreux qui les rend plus dures que l acier Elles font l objet de recherche pour developper des biomateriaux greffe osseuse couche de finition industrielle Une grande originalite des chitons est leur systeme visuel Tous ont des structures sensibles a la lumiere appelees esthetes ou megalesthetes Ce sont des cavites tubulaires microscopiques traversant la carapace dont le fond est sensible a la lumiere L ensemble de ces esthetes fonctionnerait comme un œil compose capable de reperer des ombres Une centaine d especes environ ont jusqu a un millier de veritables yeux en plus des esthetes Chaque œil egalement en forme de cavite microscopique dans la carapace possede une lentille en aragonite polycristalline et une retine pouvant comporter jusqu a 100 cellules photosensibles Des experiences suggerent que les chitons sont capables de reconnaitre des formes Au cours de la vie de l animal esthetes et yeux sont regulierement erodes et remplaces Le plus grand chiton jamais observe 30 cm de long est un chiton rose du Nord Ouest du Pacifique Habitat repartitionLes quelque 900 especes recensees dans les oceans mondiaux vivent essentiellement dans la zone intertidale et les mers continentales peu profondes mais quelques especes peuvent se trouver jusqu a des profondeurs pouvant atteindre 6 000 m Dans les milieux artificielsDans les ports sur les jetees et digues ou elements artificiels de la zone intertidale ils colonisent mal les substrats lisses et plus facilement les supports complexes riches en fentes et creux Il semble facile d ameliorer la capacite d accueil des murs et digues artificiels pour de nombreuses especes de polyplacophores ou crabes par exemple en complexifiant leur surface Mode de vieLes chitons mangent des algues des bryozoaires des diatomees et parfois des bacteries en raclant le substrat rocheux a l aide de leur radula bien developpee Certaines especes ont une ceinture elargie a l avant et se fixent sur d autres animaux Certains chitons ont un comportement casanier retournant au meme endroit le jour et se deplacant pour se nourrir la nuit Leurs predateurs sont les mouettes les etoiles de mer les crabes et les anemones de mer ReproductionDeveloppement d un polyplacophore de gauche a droite Stade larve trochophore larve en metamorphose polyplacophore juvenile Leur reproduction est typique des mollusques avec une fecondation externe et une embryogenese qui se deroule dans l eau de mer pour donner une larve planctonique trochophore La larve se dirige ensuite vers les fonds perd ses cils et devient un juvenile benthique Liste des ordresLa plupart des classifications actuelles est basee au moins en partie sur le Manuel de Conchyologie de Pilsbry 1892 1894 revise par Kaas et Van Belle 1985 1990 Les chitons ont ete divises en chismobranches et colyplaxiphores au debut du XIX e siecle Cette classe groupe environ 900 especes actuellement connues Acanthopleura granulataDebris de l armement d un Chiton tuberculatus des Antilles pieces anterieures en haut Selon World Register of Marine Species 12 janvier 2017 et BioLib 12 janvier 2017 sous classe Neoloricata Bergenhayn 1955 ordre Chitonida Thiele 1909 sous ordre Acanthochitonina Bergenhayn 1930 super famille H Adams amp A Adams 1858 famille Acanthochitonidae Pilsbry 1893 famille H Adams amp A Adams 1858 famille Sirenko 1997 famille Sirenko amp Dell Angelo 2015 super famille Dall 1889 famille Ashby 1928 famille Iredale 1914 famille Mopaliidae Dall 1889 famille Bergenhayn 1955 famille Simroth 1894 sous ordre Chitonina Thiele 1909 super famille Rafinesque 1815 famille Pilsbry 1893 famille Plate 1901 famille Plate 1899 famille Chitonidae Rafinesque 1815 famille Ischnochitonidae Dall 1889 famille Iredale amp Hull 1923 super famille Dall 1889 famille Schizochitonidae Dall 1889 ordre Thiele 1909 sous ordre Lepidopleurina Thiele 1909 famille Dell Angelo amp Palazzi 1989 famille Bergenhayn 1955 famille Dall 1889 famille Sirenko 1992 famille Ashby 1925 sous classe ordre ordre Bergenhayn 1955 genre Sutton amp Sigwart 2012 genre Autres classifications La classification suivante est celle de Parker S P classe Amphineura Sous classe Polyplacophora ordre Neoloricata sous ordre Lepidopleurina famille famille famille sous ordre Ischnochitonina famille famille Ischnochitonidae famille famille famille famille famille Mopaliidae famille Schizochitonidae famille Chitonidae sous ordre Acanthochitonina famille Acanthochitonidae Classification methode I classe Polyplacophora ordre Neoloricata famille Inclut le genre Leptochiton famille famille Ischnochitonidae Inclut les genres et famille Mopaliidae famille Chitonidae Inclut le genre Chiton famille famille Acanthochitonidae Inclut les genres Acanthochitonidae Tonicella lineata Mopaliidae Ischnochitonidae Voir aussiSur les autres projets Wikimedia Polyplacophora sur Wikimedia CommonsPolyplacophora sur Wikispecies Bibliographie en Okusu A Schwabe E Eernisse D J amp Giribet G 2003 Towards a phylogeny of chitons Mollusca Polyplacophora based on combined analysis of five molecular loci Organisms Diversity amp Evolution 3 4 281 302 DOI ResumeArticles connexes Arbre phylogenetique Classification phylogenetique Mollusca classification phylogenetique Biologie marine Biomineralisation Aragonite Liens externes en Galerie de photos de chitons en Article sur la phylogenie des chitonsReferences taxonomiques en WoRMS Polyplacophora Gray 1821 liste ordres liste familles en BioLib Polyplacophora de Blainville 1816 fr en ITIS Polyplacophora en Tree of Life Web Project Polyplacophora en Animal Diversity Web Polyplacophora en NCBI Polyplacophora taxons inclus Notes et referencesCet article est partiellement ou en totalite issu de l article intitule Chiton voir la liste des auteurs Informations lexicographiques et etymologiques de Chiton dans le Tresor de la langue francaise informatise sur le site du Centre national de ressources textuelles et lexicales Le mollusque aux yeux de pierre sur Pourlascience fr Pour la Science consulte le 5 septembre 2020 Andre Chavan Les Mollusques et leur determination Societe d edition d enseignement superieur 1966 p 32 image sur www animalnetwork com Jeremy Shaw Tough mollusc teeth give bite to new research The University of West Australia 19 janvier 2009 en Elisabeth Pennisi Crystalline eyes of chitons inspire material scientists Science vol 350 no 6263 20 novembre 2015 p 899 en Ling Li Matthew J Connors Mathias Kolle Grant T England Daniel I Speiser Xianghui Xiao Joanna Aizenberg et Christine Ortiz Multifunctionality of chiton biomineralized armor with an integrated visual system Science vol 350 no 6263 20 novembre 2015 p 952 956 a b et c J Moreira M G Chapman A J Underwood Maintenance of chitons on seawalls using crevices on sandstone blocks as habitat in Sydney Harbour Australia Journal of Experimental Marine Biology and Ecology Volume 347 Issues 1 2 24 August 2007 Pages 134 143 Resume Andree Tetry Polyplacophores sur Encyclopaedia Universalis consulte le 6 janvier 2017 World Register of Marine Species consulte le 12 janvier 2017 BioLib consulte le 12 janvier 2017 en Classification based on in part Parker S P ed 1982 Synopsis and classification of living organisms Vols 1 amp 2 McGrew Hill Book Company sur worldwideconchology com consulte le 19 novembre 2009 Classification methode I sur schnr specimen shells com consulte le 19 novembre 2009 Portail des mollusques et de la malacologie

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