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La thermométrie est le domaine de la physique qui concerne la mesure de la température Un Thermomètre Parmi les grandeur

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Thermométrie
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La thermométrie est le domaine de la physique qui concerne la mesure de la température.

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Un Thermomètre.

Parmi les grandeurs physiques, la température est l'une des plus délicates à mesurer de façon rigoureuse pour deux raisons. D'une part, il faut bien définir le système dont on mesure la température. Par exemple, laisser quelques instants une cuillère dans un plat très chaud, avec le manche qui dépasse ; le manche peut être saisi à la main tandis que la partie bombée sera brûlante. D'autre part, la définition même du concept de température et de son échelle de mesure nécessitent de connaître des concepts thermodynamiques qui sont loin d'être intuitifs.

Historique

La température étant un des concepts fondamentaux de la thermodynamique, l'histoire de la thermométrie lui est intimement liée.

Le premier thermomètre fut le thermoscope de Santorio Santorio, inventé en 1612. Le premier thermomètre à alcool fut construit par Réaumur en 1730.

Historiquement, Daniel Gabriel Fahrenheit (mort en 1736), puis Anders Celsius en 1742, imposèrent leur système à deux repères facilement identifiables. Pour Celsius, le point zéro était l'ébullition de l'eau ; le point haut était la glace fondante et était fixé à 100 degrés. Ces deux nombres furent rapidement intervertis : l'échelle actuellement utilisée a été proposée par Jean-Pierre Christin dès 1743.

Pour Fahrenheit, le point zéro de l'échelle était la température de solidification d'un mélange d'eau et de sel en proportions massiques égales ; le point haut de l'échelle, fixé initialement à 12, était la température du sang ; par la suite, il subdivisa ses degrés en huit, le point haut devint donc 8×12 = 96. Cependant, ces points se révélèrent inadéquats. Concernant l'échelle Fahrenheit, l'homéothermie n'assure pas une température interne strictement constante, il est donc illusoire de s'en servir comme référence.

On découvrit bientôt que la température d'ébullition de l'eau dépendait de la pression ; or, au cours de l'ébullition, la pression augmente dans une enceinte confinée.

On commença à travailler sur l'échelle normale à hydrogène en 1878. Ce dispositif permettait d'avoir une grande reproductibilité. Le dispositif fut adopté en 1887 par le Comité international des poids et mesures (CIPM), puis ratifié en 1889 par la première Conférence générale des poids et mesures (CGPM). Le thermomètre à résistance de platine fut développé en 1888 ; présentant un volume constant (sa dilatation est négligeable), il permettait des mesures plus fiables à haute température (jusqu'à 600 °C). Le point haut choisi fut alors le point de fusion du soufre, estimé entre 444,53 et 444,70 °C.

En 1911, la Physikalisch-Technische Bundesanstalt, institut allemand chargé de la métrologie, proposa de prendre la température thermodynamique comme échelle. Après un long travail de collaborations internationales, la résolution fut adoptée par la 7e CGPM en 1927, qui fonda l' (EIT). Les degrés étaient appelés « degrés centigrades ». Les méthodes de mesure variaient selon la gamme de température :

  • thermomètre à résistance de platine de −193 °C à 650 °C ;
  • thermocouple type S : platine/platine rhodié à 10 % de 650 à 1 100 °C ;
  • pyromètre optique, pyromètre infrarouge au-delà.

Les points de référence étaient toujours des points de changement d'état : fusion du mercure (−38 °C), du zinc (420 °C), ébullition du soufre (444,5 °C), fusion de l'antimoine (631 °C), de l'argent (962 °C) et de l'or (1 064 °C).

En 1937, le CIPM créa un Comité consultatif de thermométrie et calorimétrie qui devint ensuite le Comité consultatif de thermométrie (CCT). En 1948, le nom de l'unité devint « degré Celsius » et la CGPM modifia légèrement l'échelle.

En 1958, le CIPM valida une échelle pour les très basses températures, entre 0,5 et 5,23 K (-271 et −268 °C) ; elle reposait sur la tension de vapeur de l'hélium 4He de 5,23 à 2,2 K et sur des calculs thermodynamiques en dessous. En 1962, on utilisa l'isotope 3He à la place.

Mais il restait encore le problème de la dépendance en pression des températures de changement d'état. Il fallait donc choisir comme référence un système indépendant de la pression. En 1954, le choix se porta sur un point où glace, eau liquide et vapeur coexistent : le point triple (toutefois, la référence point triple ne fut réellement adoptée qu'au 1er janvier 1990).

Mais, l'échelle Celsius étant très largement répandue, il fallait absolument que cela ne modifie en rien les valeurs mesurées : il était impensable de faire changer tous les thermomètres. Comme on connaît bien la variation de la courbe de liquéfaction de la glace (100 atm/°C), cela donne un point triple à 1⁄100 °C du 0 °C. Comme le coefficient de dilatation est proche de 0,003 661 0 (qui vaut 1/273,15), la température du point triple fut fixée à la valeur 273,16 pour cette nouvelle échelle, l'échelle Kelvin. Ainsi, par une simple soustraction, on retrouve une température d'ébullition de l'eau à 100 °C, mais il ne s'agit désormais plus d'une définition.

Avec l'augmentation de précision des mesures, il s'avéra que les mesures donnaient :

sous la pression d'une atmosphère (101 325 Pa), l'eau bout à 99,98 °C.

Ainsi, à une erreur de mesure imperceptible avec des thermomètres courants (les plus précis étant gradués au 1/10e de degré), on peut toujours énoncer que l'eau bout à 100 °C. Mais ce 0,02 °C de différence peut avoir une importance lorsque des mesures très précises sont requises.

Cette difficulté illustre l'importance de l'habitude et de la représentation humaine dans les sciences : si l'on considère les lois les plus courantes utilisant la température (lois dites « d'Arrhenius » et statistique de Boltzmann), il aurait été plus « économique » d'utiliser la grandeur 1/kT, T étant la température absolue et k la constante de Boltzmann. Toutefois, d'une part l'échelle n'est pas « à taille humaine » (l'esprit manipule mieux les ordres de grandeur autour de 10), d'autre part, elle n'est pas intuitive (la valeur augmente lorsqu'il fait plus froid), et enfin un changement radical entraîne un coût important et des sources d'erreur nombreuses.

On remarque que l'échelle de température en vigueur actuellement a été définie en 1990. L'échelle internationale de température de 1990 apporte des changements importants tels que la suppression du thermocouple à platine-rhodié 10 %, le thermomètre à résistance de platine ayant été adopté pour la gamme des moyennes températures, couvrant ainsi le point fixe de l'argent (environ 962 °C). Mais, encore, prenant en compte le point triple de l'eau (0,01 °C) comme point de référence de l'échelle. Cependant, cette échelle reste ouverte et des solutions sont envisagées pour étendre la gamme des points fixes pour le moment réservé aux transitions de phase de corps idéalement purs (gallium, indium, étain, zinc, aluminium, argent, cuivre, or, etc.) notamment les matériaux eutectiques susceptibles de devenir des points fixes pour la thermométrie de contact à des températures supérieures à 1 000 °C, dans l'objectif de repousser encore un peu plus la jonction avec les techniques de pyrométrie qui extrapolent la loi de Planck et sont donc sources d'incertitudes.

Les thermomètres

Article détaillé : Thermomètre.

Historiquement, comme pour la plupart des grandeurs, la température a été mesurée par une conséquence visible : la dilatation.

La découverte de l'effet Seebeck en 1821 (qui donnera naissance au thermocouple) et l'invention du thermomètre à résistance de platine par Callendar en 1888 ont permis de transformer la température en une valeur électrique, donc affichable sur un cadran d'abord analogique puis numérique (d'un voltmètre).

Les travaux sur le corps noir ont donné naissance à une troisième gamme d'appareils basés sur l'analyse du spectre lumineux émis par un objet. En lui supposant des caractéristiques proches de celles du corps noir et que le transfert radiatif ne perturbe pas trop son rayonnement, la mesure de la luminance énergétique sur deux plages convenablement choisies permet de déterminer sa température. Le thermomètre infrarouge effectue ainsi une mesure analogue à celle de la température de couleur utilisée en éclairage.

Le problème de l'échantillonnage

Le premier problème pratique est celui du placement du thermomètre. Si l'on considère les thermomètres de contact (thermomètres à dilatation ou à thermocouple), la température affichée est celle… du thermomètre lui-même. Il faut donc s'assurer que le thermomètre est bien à l'équilibre thermique avec l'objet auquel on s'intéresse.

L'exemple classique est celui de la mesure météorologique sous abris : si des rayonnements infrarouges viennent irradier le thermomètre (par exemple, rayonnement du Soleil, ou du sol ou d'un mur chauffé par le Soleil), la température du thermomètre augmente, il n'est alors plus en équilibre avec l'atmosphère. La température affichée n'est donc plus celle de l'air.

Dans le cas d'une mesure spectroscopique, il faut s'assurer que la lumière captée par le thermomètre vient exclusivement de l'objet qui nous intéresse.

Enfin, se pose le problème de l'homogénéité de la température. Si l'on mesure la température en un point de l'objet, rien ne garantit qu'elle sera la même en un autre point.

Approche thermodynamique

Article connexe : Température thermodynamique.

Définition du concept de température

On ne peut pas mesurer une grandeur physique sans l'avoir définie (cf. Épistémologie de la Mesure en physique). La grandeur température est, à cet égard, exemplaire.

La thermodynamique est la science des systèmes en état d'équilibre thermodynamique. Cela suppose deux conditions :

  • équilibre mécanique : la pression y est devenue uniforme sauf cloison fixe, empêchant le transfert de volume ;
  • équilibre thermique : la température y est devenue uniforme sauf cloison calorifuge, empêchant le transfert de chaleur.

Prenons donc deux tels systèmes, S1 et S2, de températures respectives T1 et T2 : il faut déjà pouvoir dire ce que signifie expérimentalement T1 = T2, c’est-à-dire définir expérimentalement le signe égal. Le signe égal en mathématique signifie que l'on a établi une relation d'équivalence entre les états des systèmes thermodynamiques : il existe une telle relation en thermodynamique — parfois appelée « principe zéro de la thermodynamique », mais qui en réalité découle du deuxième principe, car il conduit à cette notion d'état d'équilibre thermodynamique —, c'est la relation notée par un tilde « ~ » signifiant « rester dans le même état d'équilibre thermodynamique après mise en contact thermique » (c’est-à-dire via une paroi diatherme).

Cette relation « ~ » est

  • réflexive : l'état de S1 est « ~ » avec état de S1-cloné ;
  • symétrique: l'état de S1 est « ~ » avec état de S2 ⇔ état de S2 est « ~ » avec état de S1 ;
  • transitive : l'état de S1 est « ~ » avec état de S2 et état de S2 est « ~ » avec état de S3 ⇒ état de S1 est « ~ » avec état de S3.

Évidemment, la précision expérimentale avec laquelle on peut tester cette relation « ~ » définit la capacité expérimentale qu'il y a, à distinguer deux classes d'équivalence. Chaque classe d'équivalence appartient donc à l'ensemble-quotient des "états/« ~ »" : en français de physicien, on dit :

chaque classe d'équivalence représente des systèmes de même température,

ce qui donne la possibilité d'écrire T1 = T2 et donc de définir la grandeur température.

Choix de l'échelle thermométrique

Une fois définie une grandeur, il s'agit de préciser si c'est une grandeur repérable, c’est-à-dire si l'on peut définir expérimentalement

T1 > T2

La réponse est : oui. C'est l'expression du second principe (énoncé de Clausius) :

si T1 > T2, spontanément, de la chaleur passe de S1 vers S2 à travers la paroi diatherme.

Cette relation est clairement antisymétrique et transitive. L'ensemble des classes d'équivalence se trouve donc muni d'un ordre total.

Il suffit maintenant de trouver une échelle, c’est-à-dire une grandeur physique ayant le bon goût de croître de manière monotone avec T. Il se trouve que pour tous les gaz réels, à volume constant, la pression augmente si T augmente (loi de Gay-Lussac), donc

un manomètre peut servir de thermomètre.

Comme la loi n'est pas tout à fait la même pour tous les gaz, on convient de choisir un gaz particulier, en l'occurrence le dihydrogène. On eût pu choisir l'hélium, mais celui-ci s'adsorbe sur les parois du récipient ; or, il faut opérer évidemment avec une quantité de gaz constante dans le temps. De plus, à l'époque où ce choix a été fait, on connaissait bien mieux le dihydrogène et son équation d'état.

À partir de là, on peut fabriquer toutes sortes de thermomètres, en les graduant par un abaque de référence avec le thermomètre à hydrogène.

Échelle de température absolue T en kelvins

Cependant, on peut aller plus loin et faire de la température une grandeur mesurable : c’est-à-dire définir le rapport de 2 températures. Comme chacun le sait, il ne fait pas trois fois plus chaud à 3 °C qu'à 1 °C : l'échelle Celsius n'est qu'une échelle de température repérable. Par contre, il est parfaitement sensé de dire que les deux températures précédentes sont dans le rapport de 276,15/274,15.

Il a fallu pour cela introduire la notion de température absolue du gaz parfait, dont il est démontré (cf. gaz parfait, cycle de Carnot et loi de Joule) qu'elle est la température thermodynamique définie par l' établissant l'existence de la fonction d'état « entropie » (deuxième énoncé de Clausius du second principe de la thermodynamique) :

Q 1 T 1 + Q 2 T 2 = 0 {\displaystyle {\frac {Q_{1}}{T_{1}}}+{\frac {Q_{2}}{T_{2}}}=0} image dans un cycle de Carnot bâti sur les deux isothermes T1 et T2.

Dans ces conditions, l'énoncé

T 1 T 2 = − Q 1 Q 2 {\displaystyle {\frac {T_{1}}{T_{2}}}=-{\frac {Q_{1}}{Q_{2}}}} image

a une signification physique et cela définit une grandeur mesurable.

Échelle pratique de définition

Pratiquement, l'émergence de la notion de température et d'une échelle pour sa mesure sont dus à un phénomène étonnant, car indépendant de la nature du gaz considéré, découvert par Avogadro à partir des lois de Mariotte, Charles et Gay-Lussac :

à la limite des faibles pressions, extrapolées à pression nulle, le produit de la pression par le volume PV pour une mole de gaz est une fonction croissante de la température

donc on peut faire un thermomètre avec cette grandeur physique PV.

D'une part c'est la même fonction pour tous les gaz réels, ce qui n'est pas intuitif, et d'autre part, vu le théorème de Carnot,

P 1 V 1 P 2 V 2 = − Q 1 Q 2 {\displaystyle {\frac {P_{1}V_{1}}{P_{2}V_{2}}}=-{\frac {Q_{1}}{Q_{2}}}} image

donc

PV = R·T (pour une mole)

où R est une constante choisie arbitrairement. Le choix pour R s'est porté sur un repère de température zéro-variant, c’est-à-dire ne variant pas avec la pression, ce qui n'était pas le cas de l'ancien repère de Celsius (les températures de changement d'état de l'eau varient en fonction de la pression) : le choix est le point triple de l'eau, c’est-à-dire la température exacte où glace, l'eau liquide et la vapeur d'eau sont simultanément en équilibre (ce point triple est unique, et se trouve à une pression d'environ 615 pascals).

Alors, pour une mole de gaz quel qu'il soit, la limite du produit PV lorsque P tend vers 0 vaut

lim P → 0 P V = 101   325 × ( 22 , 414   816 ( 40 ) × 0 , 001 ) {\displaystyle \lim _{P\rightarrow 0}PV=101\ 325\times \left(22,414\ 816(40)\times 0,001\right)} image J/mol

et l'on déclare que cette température vaut 273,16 kelvins, par définition de l'échelle, dite kelvin, de température absolue.

Comparaison entre l'échelle Celsius et l'échelle kelvin

Alors que l'on a l'habitude d'avoir des valeurs de référence simple et entières, les valeurs de référence de la température apparaissent terriblement complexes. Ceci n'est pas une lubie des organismes de normalisation (notamment du Bureau international des poids et mesures), mais une conséquence de l'histoire (cf. histoire de la thermométrie).

Ces valeurs ont été déterminées afin qu'à la pression d'une atmosphère et la température de l'équilibre eau/glace, on retrouve bien les valeurs déjà tabulées, par exemple celle du volume molaire 22,414 l. Simplement, grâce à la nouvelle définition de la température, on est capable d'avoir une valeur bien plus précise de cette grandeur : 22,413 996(39) l.

D'où la valeur de la constante des gaz parfaits

R = 8,314 472(15) J/K·mol

en divisant cette valeur par le nombre d'Avogadro N A = {\displaystyle N_{A}=} image 6,022 141 99(47) × 1023 mol−1, on obtient le facteur de conversion des joules en kelvins (c'est-à-dire le rapport entre l'énergie cinétique moyenne en joules des molécules d'un gaz et sa température) :

la constante de Boltzmann k = 1,380 650 5(24) × 10−23 J/K

ou encore en électron-volts (1 eV vaut 1⁄6 241 509 629 152 650 000 C·V) :

un gaz dont les molécules ont une énergie cinétique moyenne de 1 eV a une température de 11 604,505(24) K ~ 11 600 K.

Étalon

Un étalon est un système sur lequel la grandeur physique considérée est mesurée par un appareil de comparaison, dit « étalon primaire ». La grandeur physique est :

lim P → 0 P V {\displaystyle \lim _{P\rightarrow 0}PV} image

pour un thermomètre à gaz dihydrogène à volume constant V°(donc récipient sans dilatation). Ayant préalablement tracé tous les isothermes de ce gaz, PV = ƒ(P), pour chaque température, on peut extrapoler ces isothermes lorsque P tend vers zéro et donc numéroter très précisément la température T de chaque isotherme.

Pour la mesure d'une Température T' d'une enceinte : on plonge le thermomètre dans l'enceinte, et on relève la pression P' pour le volume V°. Le point P'V° tombe sur une isotherme déterminée, dont on lit la température.

Comme le gaz est très dilatable, l'appareil est sensible. Le procédé est stable si l'on sait maintenir la même quantité d'hydrogène. Par contre, il n'est pas fin : la mesure perturbe la valeur à mesurer, mais on s'arrange pour n'avoir à mesurer que des systèmes thermostatés, la finesse n'a alors plus d'importance.

Mais surtout, le système n'est absolument pas pratique.

On utilisera donc des étalons secondaires, ou « réalisation pratique de l'échelle absolue de température ».

Réalisation pratique de l'échelle de température

Grâce au thermomètre à gaz parfait, on étalonne la température de points aussi fixes que possible : par exemple des points triples, si on sait les réaliser, ou des températures de fusion qui ne dépendent pas beaucoup de la pression, et qu'on réalise autant que faire se peut sous 101 325 Pa.

Une fois ces températures déterminées, on réalise des thermomètres aussi sensibles que possible, fidèles et pratiques, que l'on étalonne grâce à ces points repères : l'abaque informatisé permet de remonter immédiatement à la température absolue. Dans les températures ordinaires (de 20 à 2 000 K), on arrive à cinq chiffres significatifs. En température différentielle, on peut atteindre 10 µK.

Notes et références

  1. (en) « Celsius temperature scale », dans Encyclopædia Britannica (lire en ligne).
  2. Mémoire sur la dilatation du Mercure dans le Thermométre, Mercure de France, Paris: Chaubert; Jean de Nully; Pissot; Duchesne, juillet 1743, p. 1609-1610.

Voir aussi

Articles connexes

  • Thermographie
  • Sonde de température
  • NF X 15-140

Bibliographie

  • Quinn, Temperature , ed Elsevier, 1990 (ISBN 978 14 832 59 345)
    La table des matières, fort conséquente, est consultable en ligne (consulté en mai 2018).

Liens externes

  • Historique des échelles de température, Bureau international des poids et mesures.
  • image Portail de la physique

Auteur: www.NiNa.Az

Date de publication: 31 Mai, 2025 / 22:40

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La thermometrie est le domaine de la physique qui concerne la mesure de la temperature Un Thermometre Parmi les grandeurs physiques la temperature est l une des plus delicates a mesurer de facon rigoureuse pour deux raisons D une part il faut bien definir le systeme dont on mesure la temperature Par exemple laisser quelques instants une cuillere dans un plat tres chaud avec le manche qui depasse le manche peut etre saisi a la main tandis que la partie bombee sera brulante D autre part la definition meme du concept de temperature et de son echelle de mesure necessitent de connaitre des concepts thermodynamiques qui sont loin d etre intuitifs HistoriqueLa temperature etant un des concepts fondamentaux de la thermodynamique l histoire de la thermometrie lui est intimement liee Le premier thermometre fut le thermoscope de Santorio Santorio invente en 1612 Le premier thermometre a alcool fut construit par Reaumur en 1730 Historiquement Daniel Gabriel Fahrenheit mort en 1736 puis Anders Celsius en 1742 imposerent leur systeme a deux reperes facilement identifiables Pour Celsius le point zero etait l ebullition de l eau le point haut etait la glace fondante et etait fixe a 100 degres Ces deux nombres furent rapidement intervertis l echelle actuellement utilisee a ete proposee par Jean Pierre Christin des 1743 Pour Fahrenheit le point zero de l echelle etait la temperature de solidification d un melange d eau et de sel en proportions massiques egales le point haut de l echelle fixe initialement a 12 etait la temperature du sang par la suite il subdivisa ses degres en huit le point haut devint donc 8 12 96 Cependant ces points se revelerent inadequats Concernant l echelle Fahrenheit l homeothermie n assure pas une temperature interne strictement constante il est donc illusoire de s en servir comme reference On decouvrit bientot que la temperature d ebullition de l eau dependait de la pression or au cours de l ebullition la pression augmente dans une enceinte confinee On commenca a travailler sur l echelle normale a hydrogene en 1878 Ce dispositif permettait d avoir une grande reproductibilite Le dispositif fut adopte en 1887 par le Comite international des poids et mesures CIPM puis ratifie en 1889 par la premiere Conference generale des poids et mesures CGPM Le thermometre a resistance de platine fut developpe en 1888 presentant un volume constant sa dilatation est negligeable il permettait des mesures plus fiables a haute temperature jusqu a 600 C Le point haut choisi fut alors le point de fusion du soufre estime entre 444 53 et 444 70 C En 1911 la Physikalisch Technische Bundesanstalt institut allemand charge de la metrologie proposa de prendre la temperature thermodynamique comme echelle Apres un long travail de collaborations internationales la resolution fut adoptee par la 7e CGPM en 1927 qui fonda l EIT Les degres etaient appeles degres centigrades Les methodes de mesure variaient selon la gamme de temperature thermometre a resistance de platine de 193 C a 650 C thermocouple type S platine platine rhodie a 10 de 650 a 1 100 C pyrometre optique pyrometre infrarouge au dela Les points de reference etaient toujours des points de changement d etat fusion du mercure 38 C du zinc 420 C ebullition du soufre 444 5 C fusion de l antimoine 631 C de l argent 962 C et de l or 1 064 C En 1937 le CIPM crea un Comite consultatif de thermometrie et calorimetrie qui devint ensuite le Comite consultatif de thermometrie CCT En 1948 le nom de l unite devint degre Celsius et la CGPM modifia legerement l echelle En 1958 le CIPM valida une echelle pour les tres basses temperatures entre 0 5 et 5 23 K 271 et 268 C elle reposait sur la tension de vapeur de l helium 4He de 5 23 a 2 2 K et sur des calculs thermodynamiques en dessous En 1962 on utilisa l isotope 3He a la place Mais il restait encore le probleme de la dependance en pression des temperatures de changement d etat Il fallait donc choisir comme reference un systeme independant de la pression En 1954 le choix se porta sur un point ou glace eau liquide et vapeur coexistent le point triple toutefois la reference point triple ne fut reellement adoptee qu au 1er janvier 1990 Mais l echelle Celsius etant tres largement repandue il fallait absolument que cela ne modifie en rien les valeurs mesurees il etait impensable de faire changer tous les thermometres Comme on connait bien la variation de la courbe de liquefaction de la glace 100 atm C cela donne un point triple a 1 100 C du 0 C Comme le coefficient de dilatation est proche de 0 003 661 0 qui vaut 1 273 15 la temperature du point triple fut fixee a la valeur 273 16 pour cette nouvelle echelle l echelle Kelvin Ainsi par une simple soustraction on retrouve une temperature d ebullition de l eau a 100 C mais il ne s agit desormais plus d une definition Avec l augmentation de precision des mesures il s avera que les mesures donnaient sous la pression d une atmosphere 101 325 Pa l eau bout a 99 98 C Ainsi a une erreur de mesure imperceptible avec des thermometres courants les plus precis etant gradues au 1 10e de degre on peut toujours enoncer que l eau bout a 100 C Mais ce 0 02 C de difference peut avoir une importance lorsque des mesures tres precises sont requises Cette difficulte illustre l importance de l habitude et de la representation humaine dans les sciences si l on considere les lois les plus courantes utilisant la temperature lois dites d Arrhenius et statistique de Boltzmann il aurait ete plus economique d utiliser la grandeur 1 kT T etant la temperature absolue et k la constante de Boltzmann Toutefois d une part l echelle n est pas a taille humaine l esprit manipule mieux les ordres de grandeur autour de 10 d autre part elle n est pas intuitive la valeur augmente lorsqu il fait plus froid et enfin un changement radical entraine un cout important et des sources d erreur nombreuses On remarque que l echelle de temperature en vigueur actuellement a ete definie en 1990 L echelle internationale de temperature de 1990 apporte des changements importants tels que la suppression du thermocouple a platine rhodie 10 le thermometre a resistance de platine ayant ete adopte pour la gamme des moyennes temperatures couvrant ainsi le point fixe de l argent environ 962 C Mais encore prenant en compte le point triple de l eau 0 01 C comme point de reference de l echelle Cependant cette echelle reste ouverte et des solutions sont envisagees pour etendre la gamme des points fixes pour le moment reserve aux transitions de phase de corps idealement purs gallium indium etain zinc aluminium argent cuivre or etc notamment les materiaux eutectiques susceptibles de devenir des points fixes pour la thermometrie de contact a des temperatures superieures a 1 000 C dans l objectif de repousser encore un peu plus la jonction avec les techniques de pyrometrie qui extrapolent la loi de Planck et sont donc sources d incertitudes Les thermometresArticle detaille Thermometre Historiquement comme pour la plupart des grandeurs la temperature a ete mesuree par une consequence visible la dilatation La decouverte de l effet Seebeck en 1821 qui donnera naissance au thermocouple et l invention du thermometre a resistance de platine par Callendar en 1888 ont permis de transformer la temperature en une valeur electrique donc affichable sur un cadran d abord analogique puis numerique d un voltmetre Les travaux sur le corps noir ont donne naissance a une troisieme gamme d appareils bases sur l analyse du spectre lumineux emis par un objet En lui supposant des caracteristiques proches de celles du corps noir et que le transfert radiatif ne perturbe pas trop son rayonnement la mesure de la luminance energetique sur deux plages convenablement choisies permet de determiner sa temperature Le thermometre infrarouge effectue ainsi une mesure analogue a celle de la temperature de couleur utilisee en eclairage Le probleme de l echantillonnageLe premier probleme pratique est celui du placement du thermometre Si l on considere les thermometres de contact thermometres a dilatation ou a thermocouple la temperature affichee est celle du thermometre lui meme Il faut donc s assurer que le thermometre est bien a l equilibre thermique avec l objet auquel on s interesse L exemple classique est celui de la mesure meteorologique sous abris si des rayonnements infrarouges viennent irradier le thermometre par exemple rayonnement du Soleil ou du sol ou d un mur chauffe par le Soleil la temperature du thermometre augmente il n est alors plus en equilibre avec l atmosphere La temperature affichee n est donc plus celle de l air Dans le cas d une mesure spectroscopique il faut s assurer que la lumiere captee par le thermometre vient exclusivement de l objet qui nous interesse Enfin se pose le probleme de l homogeneite de la temperature Si l on mesure la temperature en un point de l objet rien ne garantit qu elle sera la meme en un autre point Approche thermodynamiqueArticle connexe Temperature thermodynamique Definition du concept de temperature On ne peut pas mesurer une grandeur physique sans l avoir definie cf Epistemologie de la Mesure en physique La grandeur temperature est a cet egard exemplaire La thermodynamique est la science des systemes en etat d equilibre thermodynamique Cela suppose deux conditions equilibre mecanique la pression y est devenue uniforme sauf cloison fixe empechant le transfert de volume equilibre thermique la temperature y est devenue uniforme sauf cloison calorifuge empechant le transfert de chaleur Prenons donc deux tels systemes S1 et S2 de temperatures respectives T1 et T2 il faut deja pouvoir dire ce que signifie experimentalement T1 T2 c est a dire definir experimentalement le signe egal Le signe egal en mathematique signifie que l on a etabli une relation d equivalence entre les etats des systemes thermodynamiques il existe une telle relation en thermodynamique parfois appelee principe zero de la thermodynamique mais qui en realite decoule du deuxieme principe car il conduit a cette notion d etat d equilibre thermodynamique c est la relation notee par un tilde signifiant rester dans le meme etat d equilibre thermodynamique apres mise en contact thermique c est a dire via une paroi diatherme Cette relation est reflexive l etat de S1 est avec etat de S1 clone symetrique l etat de S1 est avec etat de S2 etat de S2 est avec etat de S1 transitive l etat de S1 est avec etat de S2 et etat de S2 est avec etat de S3 etat de S1 est avec etat de S3 Evidemment la precision experimentale avec laquelle on peut tester cette relation definit la capacite experimentale qu il y a a distinguer deux classes d equivalence Chaque classe d equivalence appartient donc a l ensemble quotient des etats en francais de physicien on dit chaque classe d equivalence represente des systemes de meme temperature ce qui donne la possibilite d ecrire T1 T2 et donc de definir la grandeur temperature Choix de l echelle thermometrique Une fois definie une grandeur il s agit de preciser si c est une grandeur reperable c est a dire si l on peut definir experimentalement T1 gt T2 La reponse est oui C est l expression du second principe enonce de Clausius si T1 gt T2 spontanement de la chaleur passe de S1 vers S2 a travers la paroi diatherme Cette relation est clairement antisymetrique et transitive L ensemble des classes d equivalence se trouve donc muni d un ordre total Il suffit maintenant de trouver une echelle c est a dire une grandeur physique ayant le bon gout de croitre de maniere monotone avec T Il se trouve que pour tous les gaz reels a volume constant la pression augmente si T augmente loi de Gay Lussac donc un manometre peut servir de thermometre Comme la loi n est pas tout a fait la meme pour tous les gaz on convient de choisir un gaz particulier en l occurrence le dihydrogene On eut pu choisir l helium mais celui ci s adsorbe sur les parois du recipient or il faut operer evidemment avec une quantite de gaz constante dans le temps De plus a l epoque ou ce choix a ete fait on connaissait bien mieux le dihydrogene et son equation d etat A partir de la on peut fabriquer toutes sortes de thermometres en les graduant par un abaque de reference avec le thermometre a hydrogene Echelle de temperature absolue T en kelvins Cependant on peut aller plus loin et faire de la temperature une grandeur mesurable c est a dire definir le rapport de 2 temperatures Comme chacun le sait il ne fait pas trois fois plus chaud a 3 C qu a 1 C l echelle Celsius n est qu une echelle de temperature reperable Par contre il est parfaitement sense de dire que les deux temperatures precedentes sont dans le rapport de 276 15 274 15 Il a fallu pour cela introduire la notion de temperature absolue du gaz parfait dont il est demontre cf gaz parfait cycle de Carnot et loi de Joule qu elle est la temperature thermodynamique definie par l etablissant l existence de la fonction d etat entropie deuxieme enonce de Clausius du second principe de la thermodynamique Q 1 T 1 Q 2 T 2 0 displaystyle frac Q 1 T 1 frac Q 2 T 2 0 dans un cycle de Carnot bati sur les deux isothermes T1 et T2 Dans ces conditions l enonce T 1 T 2 Q 1 Q 2 displaystyle frac T 1 T 2 frac Q 1 Q 2 a une signification physique et cela definit une grandeur mesurable Echelle pratique de definition Pratiquement l emergence de la notion de temperature et d une echelle pour sa mesure sont dus a un phenomene etonnant car independant de la nature du gaz considere decouvert par Avogadro a partir des lois de Mariotte Charles et Gay Lussac a la limite des faibles pressions extrapolees a pression nulle le produit de la pression par le volume PV pour une mole de gaz est une fonction croissante de la temperature donc on peut faire un thermometre avec cette grandeur physique PV D une part c est la meme fonction pour tous les gaz reels ce qui n est pas intuitif et d autre part vu le theoreme de Carnot P 1 V 1 P 2 V 2 Q 1 Q 2 displaystyle frac P 1 V 1 P 2 V 2 frac Q 1 Q 2 donc PV R T pour une mole ou R est une constante choisie arbitrairement Le choix pour R s est porte sur un repere de temperature zero variant c est a dire ne variant pas avec la pression ce qui n etait pas le cas de l ancien repere de Celsius les temperatures de changement d etat de l eau varient en fonction de la pression le choix est le point triple de l eau c est a dire la temperature exacte ou glace l eau liquide et la vapeur d eau sont simultanement en equilibre ce point triple est unique et se trouve a une pression d environ 615 pascals Alors pour une mole de gaz quel qu il soit la limite du produit PV lorsque P tend vers 0 vaut lim P 0 P V 101 325 22 414 816 40 0 001 displaystyle lim P rightarrow 0 PV 101 325 times left 22 414 816 40 times 0 001 right J mol et l on declare que cette temperature vaut 273 16 kelvins par definition de l echelle dite kelvin de temperature absolue Comparaison entre l echelle Celsius et l echelle kelvin Alors que l on a l habitude d avoir des valeurs de reference simple et entieres les valeurs de reference de la temperature apparaissent terriblement complexes Ceci n est pas une lubie des organismes de normalisation notamment du Bureau international des poids et mesures mais une consequence de l histoire cf histoire de la thermometrie Ces valeurs ont ete determinees afin qu a la pression d une atmosphere et la temperature de l equilibre eau glace on retrouve bien les valeurs deja tabulees par exemple celle du volume molaire 22 414 l Simplement grace a la nouvelle definition de la temperature on est capable d avoir une valeur bien plus precise de cette grandeur 22 413 996 39 l D ou la valeur de la constante des gaz parfaits R 8 314 472 15 J K mol en divisant cette valeur par le nombre d Avogadro N A displaystyle N A 6 022 141 99 47 1023 mol 1 on obtient le facteur de conversion des joules en kelvins c est a dire le rapport entre l energie cinetique moyenne en joules des molecules d un gaz et sa temperature la constante de Boltzmann k 1 380 650 5 24 10 23 J K ou encore en electron volts 1 eV vaut 1 6 241 509 629 152 650 000 C V un gaz dont les molecules ont une energie cinetique moyenne de 1 eV a une temperature de 11 604 505 24 K 11 600 K Etalon Un etalon est un systeme sur lequel la grandeur physique consideree est mesuree par un appareil de comparaison dit etalon primaire La grandeur physique est lim P 0 P V displaystyle lim P rightarrow 0 PV pour un thermometre a gaz dihydrogene a volume constant V donc recipient sans dilatation Ayant prealablement trace tous les isothermes de ce gaz PV ƒ P pour chaque temperature on peut extrapoler ces isothermes lorsque P tend vers zero et donc numeroter tres precisement la temperature T de chaque isotherme Pour la mesure d une Temperature T d une enceinte on plonge le thermometre dans l enceinte et on releve la pression P pour le volume V Le point P V tombe sur une isotherme determinee dont on lit la temperature Comme le gaz est tres dilatable l appareil est sensible Le procede est stable si l on sait maintenir la meme quantite d hydrogene Par contre il n est pas fin la mesure perturbe la valeur a mesurer mais on s arrange pour n avoir a mesurer que des systemes thermostates la finesse n a alors plus d importance Mais surtout le systeme n est absolument pas pratique On utilisera donc des etalons secondaires ou realisation pratique de l echelle absolue de temperature Realisation pratique de l echelle de temperature Grace au thermometre a gaz parfait on etalonne la temperature de points aussi fixes que possible par exemple des points triples si on sait les realiser ou des temperatures de fusion qui ne dependent pas beaucoup de la pression et qu on realise autant que faire se peut sous 101 325 Pa Une fois ces temperatures determinees on realise des thermometres aussi sensibles que possible fideles et pratiques que l on etalonne grace a ces points reperes l abaque informatise permet de remonter immediatement a la temperature absolue Dans les temperatures ordinaires de 20 a 2 000 K on arrive a cinq chiffres significatifs En temperature differentielle on peut atteindre 10 µK Notes et references en Celsius temperature scale dans Encyclopaedia Britannica lire en ligne Memoire sur la dilatation du Mercure dans le Thermometre Mercure de France Paris Chaubert Jean de Nully Pissot Duchesne juillet 1743 p 1609 1610 Voir aussiArticles connexes Thermographie Sonde de temperature NF X 15 140 Bibliographie Quinn Temperature ed Elsevier 1990 ISBN 978 14 832 59 345 La table des matieres fort consequente est consultable en ligne consulte en mai 2018 Liens externes Historique des echelles de temperature Bureau international des poids et mesures Portail de la physique

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