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Un symbole peut être un objet, une image, un mot écrit, un son voire un être vivant, ou une marque particulière qui représente quelque chose d'autre par association, ressemblance ou convention.

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Pour les articles homonymes, voir Symbole (homonymie).

Définition

Certains domaines, notamment scientifiques et techniques, font un usage extensif du concept de symbole, qui désigne une écriture qui représente une abstraction. C'est ainsi que les mathématiques définissent le calcul symbolique. En philosophie et en sciences humaines et sociales, on tend à distinguer un signe, qui a un sens précis — comme les panneaux du code de la route, dont un texte réglementaire indique avec le moins d'ambiguïté possible la signification, d'un symbole, qui renvoie à un ensemble plus confus de pensées.

Un symbole peut être un objet, une image, une forme reconnaissable éventuellement associée à un champ chromatique, un mot, un son, toute une marque qui représente quelque chose d'autre par association, ressemblance ou convention. Cela peut être une personne, une « figure symbolique » de quelque chose, une formule de reconnaissance d'individus appartenant à un groupe, un signal gestuel ou bien un signe dessiné ou sculpté. L'aspect culturel est prédominant.

Signe et symbole

« Le symbole ne doit pas être confondu avec le signe, car il n'est pas conventionnel et intellectuel, mais appel de l'imagination sensible vers un spirituel qu'il suggère sans le signifier »

— Anne Souriau, Vocabulaire d'esthétique

Les sciences humaines et sociales distinguent symbole et signe. Les signes — par exemple les emblèmes — renvoient à une signification précise, conventionnelle, tandis que les symboles évoquent, laissant la possibilité d'associations mentales diverses.

En linguistique, on étudie une paire signifié et signifiant. Un signe linguistique est une forme contingente associée à un concept. Ce qu'évoque un symbole varie selon le contexte ; les individus penchent plus ou moins pour un sentiment ou une interprétation selon le contexte et selon leur évolution psychologique. La psychanalyse pose que tout évènement qu'une parole peut évoquer dans la cure peut s'entendre comme un symbole relié à un affect fondamental — par exemple, un symbole paternel relie au père.

Le symbole est la base pour des « analogies pertinentes, des homologies, des associations d’idées, des connotations, des relations entre le sens premier du symbole et les sens figurés qui permettent cette extraction ». Un signe peut trouver une application symbolique, quand son sens est manifestement incongru dans le contexte, ou que l'on fait un effort délibéré pour l'associer plus librement, au delà de la convention.

La sémiotique donne à signe un sens plus général qu'à symbole : un symbole peut aussi bien se comprendre comme un signe relié par des liens élastiques à des significations, qu'un signe comme un symbole dont une convention fixe la signification.

Perspective historique

Le sens du mot « symbole » a varié au cours de son emploi, de sorte que les réflexions d'un auteur ancien peuvent porter à confusion.

Le mot « symbole » est issu du grec ancien σύμβολον / súmbolon, dérivé du verbe συμβάλλομαι / sumballomai, « mettre ensemble, apporter son écot, comparer » (de σύν / sún, « avec », et βάλλω / bállô, « lancer, jeter »). Un « sumbolon » était un tesson de poterie cassé en deux morceaux et partagé entre deux contractants. Pour liquider le contrat, il fallait faire la preuve de sa qualité en rapprochant les deux morceaux qui devaient s'emboîter parfaitement. Par la suite, des formes d'abstraction, comme le langage ou la gestuelle, ont pu remplacer les objets dans leur fonction de représenter un engagement, une promesse, une alliance, un contrat, un pacte scellé entre deux partenaires (par exemple, une poignée de main sera le symbole d'un accord). Dans ce sens, un symbole est donc un objet sensible qu'on « pose côte à côte avec » une réalité abstraite ou surnaturelle qu'il est destiné à représenter. Le symbole est le terme visible d'une comparaison dont l'autre terme est invisible[réf. souhaitée].

Aristote emploie par métaphore « symbole » pour désigner une correspondance : « Les sons émis par la voix sont les symboles des états d'âme […] les mots parlés ne sont pas [chez tous les hommes] les mêmes, bien que les états de l'âme dont ces expressions sont les signes immédiats soient identiques chez tous, comme sont identiques aussi les choses dont ces états sont les images ».

L'herméneutique grecque distingue deux modes de réception du langage, la compréhension pour le langage clair, l'interprétation pour le langage obscur. Héraclite dit de l'Oracle de Delphes qu'il « ne dit rien ni ne cache rien mais il signifie » ; Porphyre de Tyr rapporte que Pythagore enseignait « soit en développant sa pensée, soit en usant de symboles ».

Jusqu'à la fin de l'époque classique, au début du XVIIIe siècle, le symbole est une question — et une figure — de rhétorique. L'esthétique se fonde sur l'imitation de la nature dont l'image est le signe, idéalisé. On parle de symbole lorsque le spectateur peine à rapprocher ce qu'il voit d'une signification conventionnelle. L'époque romantique répudie ensuite la rhétorique, et avance deux traits de la conception moderne du symbole : les romantiques n'admettent pas de norme pour les productions artistiques ni pour leur interprétation — l'art est à lui-même sa propre fin, et l'interprétation du symbole n'est ni codifiée, ni codifiable.

Au début du XXe siècle, « Le symbole est un signe concret évoquant, par un rapport naturel, quelque chose d'absent ou d'impossible à percevoir ». Ce sens est proche de celui de la rhétorique. Mais Peirce distingue icone — signe qui ressemble à un objet, comme le portrait, indice — signe qui permet d'inférer l'existence d'un objet, comme la fumée pour le feu et symbole — signe qui renvoie à l'objet par convention, comme une croix verte montre une pharmacie. La sémiotique considère, à sa suite, que le symbole est une variété de signe, qu'il est possible d'associer, par une théorie appropriée, à une signification.

Paul Ricœur « appelle symbole toute structure de signification où un sens direct, primaire, littéral, désigne par surcroît un autre sens indirect, secondaire, figuré, qui ne peut être appréhendé qu'à travers le premier ». Les auteurs doivent convenir qu'un symbole est passible d'interprétations variables selon le contexte et la personne qui le considère. Tzvetan Todorov écrit : « un texte ou un discours devient symbolique à partir du moment où, par un travail d’interprétation, nous lui découvrons un sens indirect ». Jean Chevalier donne quelques caractéristiques qui amènent à interpréter, plutôt que comprendre :

  1. Obscurité : le symbole dépasse l'entendement intellectuel et l'intérêt esthétique. Il est « un terme apparemment saissisable dont l'insaisissable est l'autre terme ».
  2. Pluridimensionnalité. Chaque symbole condense plusieurs faces, formes, sens, interprétations. Un personnage de Amadou Hampaté Bâ s'écrie : « Ô mon frère, apprends que chaque symbole a un, deux, plusieurs sens ».
  3. Relativité. Les symboles varient selon le contexte, ils revêtent une grande diversité iconographique ou littéraire, ils sont perçus différemment selon qu'on est éveillé ou endormi, créateur ou interprète.

Fonctions du symbole

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La représentation d'une clé dans une serrure est souvent un symbole sexuel, mais pas toujours selon Carl-Gustav Jung.
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  • La première des fonctions[réf. nécessaire] du symbole est la « fonction sémiotique » : il signifie quelque chose, il désigne, comme tout signe[réf. nécessaire]. Le symbole est une représentation porteuse de sens. C'est un système signifiant relevant de la connotation, par exemple, le carré peut désigner le nombre quatre[réf. nécessaire].
  • Une deuxième fonction du symbole est la « fonction révélatrice ». Le symbole apparaît ainsi comme la réalité visible (accessible aux cinq sens) qui invite à découvrir des réalités invisibles. Ce qu'un signe ordinaire ne permet pas de dire, le symbole le permet. Le symbole traduit l'intraduisible, éclaire l'obscur. Par exemple : le Soleil, qui éblouit, permet de présenter l'inaccessibilité de Dieu ; l'océan figure l'infini de l'amour[réf. nécessaire].
  • « Fonction universalisante » : les symboles fondés sur une corrélation naturelle entre symbolisant et symbolisé sont de partout et de toujours. Par exemple, de nombreuses cultures symbolisent l'inaltérabilité par l'or.
  • Une autre fonction est la « fonction transformatrice », pour le psychisme. Selon la psychologie des profondeurs (Carl-Gustav Jung), un symbole contient une grande énergie que l'homme peut transformer, en l'amplifiant, en la sublimant, en la réorientant… Par exemple, certains malades se guérissent en travaillant sur des couleurs, des sons, leurs rêves, leurs fantasmes conscients ou leurs fantasmes inconscients[réf. souhaitée].
  • Une autre fonction est la « fonction magique »[réf. nécessaire] : le symbole, de façon formelle ou de façon concrète, agit sur les choses, indirectement, analogiquement. Par exemple, un magicien croit - à tort ou à raison - que le nombre treize, par une « vertu occulte » qui échappe à la raison et à la science physique, porte malheur.

L'étude du symbole en général

Articles connexes : Symbologie et Herméneutique.

Les disciplines sémiologie et sémiotique sont occidentales. Elles sont dans le français courant confondues.

Le schéma ou plan qui organise l'étude des signes et signaux symboliques se fait en plusieurs divisions ou sous-ensembles des objets d'étude. (La modélisation, le « référentiel » est plus ou moins « rigide » et adapté plutôt à une étude dont il est issu qu'à une autre). Le signe donné doit pouvoir « parler » comme symbole et donc être identifié comme symbole plus ou moins flou, avec des termes qui ne sont pas forcément un nom mais des associations d'attributs particuliers. L'effet étudié devient fonction étudiée. Les autres constituants deviennent information selon la modélisation des perceptions simples qui font l'objet de la constatation recherchée.

La sémiologie théorise au départ en deux divisions : Signifié et signifiant (-autrement énoncé aussi le « Signifiant et le signifié » suivant le point de vue adopté -). Ce couple ou duplet est étudié au sein de la vie sociale selon Ferdinand de Saussure en 1916 sur les bases de l'étude de la langue.

La sémiotique en théorise en général au départ trois divisions avec pour support les modes de production, de fonctionnement et de réception des signes mis en systèmes de pensée concernant les individus entre eux et dans leur rapport au groupe(s). (-Groupe a le sens du « méta-individu » qu'est le groupe social-).

Le « triangle sémiotique » est réarrangé dans leur importances des « faces » ou « facteurs », ou « fonctions » qui le constituent selon le modèle, la hiérarchie peut y exister (dépendance).

Dimension de domaine de culture: culture philosophique, culture scientifique, et dimension de domaine d'étude pour son application pratique : la médecine (la Sémiologie médicale), la science de la logique, la communication (avec le commerce…), etc.

Le nombre de facteurs étudiés donne parfois selon la théorie mise en place un schéma des dépendances de fonctionnement « supérieur » à celui du « triangle ».

Le nombre des « faces » du schéma et ses dimensions « cause/effet » augmente dans l'histoire brève de ces sciences. La systémique nouvelle science en évolution constante, avec les recherches associées transversalement comprenant la psychologie étudie le monde complexe avec ses symboles, et la modélisation.

Schémas

Le couple signifiant et signifié

« Le lien entre le signifiant et le signifié est de l’ordre de l’analogie, de la similitude, de la parenté, de la ressemblance, parfois de contraste, d'antithèse, d'antagonique. ».

Selon Jean-Marie Schaeffer, dans la perspective de Saussure, la notion de dimension sémantique est « le lieu d'une ambiguïté, puisqu'elle peut concerner les relations entre signifiant et signifié (designatum) ou alors celles entre le signe global et le référent (denotatum), on est évidemment obligé de distinguer entre relation sémantique (interne au signe) et relation référentielle ».

Le triangle sens - dénotation - représentation

Frege, en 1892, distinguait :

  • Le sens (Sinn) - le sens est l'expression ou la proposition, c'est la signification, la pensée exprimée, il peut être commun à plusieurs personnes ;
  • La référence (dénotation, Bedeutung)- la référence est l'objet désigné, ce qu'une expression linguistique désigne ;
  • La représentation (Zeichen)- la représentation est une unité mentale subjective et individuelle.

Charles S. Peirce, en 1897, distinguait :

  • representamen (signe matériel) qui dénote un
  • object, un objet (un objet de la pensée) grâce à un
  • interpretant (une représentation mentale faite dans la relation entre le representamen et l'objet thématique de la pensée), un sens porté par le signe.

Charles K. Ogden et Ivor A. Armstrong distinguaient en 1923 :

  • le symbole (terme, expression linguistique) ;
  • la référence (concept, unité de pensée) ;
  • le référent (objet, partie du monde perceptible ou concevable : la Tour Eiffel, la vitesse).

Charles W. Morris distingue trois « dimensions » du signe :

  • Sémantique : la dimension sémantique regarde la relation entre le signe et ce qu'il signifie ;
  • Syntaxique : la dimension syntaxique regarde la relation des signes entre eux ;
  • Pragmatique : la dimension pragmatique regarde la relation entre les signes et les utilisateurs des signes.

Cinq composants et plus

Mis en deux divisions schématiques de quatre, huit facteurs de domaine et d'étude :

Charles W. Morris, en 1938, distingue dans le signe quatre identifiants de dépendance fonctionnelle (4 uplets) :

  • le véhicule du signe : ce qui agit comme signe
  • le designatum : ce à quoi le signe réfère
  • l'effet produit sur un certain interprète
  • l'interprète : la personne pour qui le signe a fonction de signe.

Et quatre usages en dépendance du signe :

  • l'information
  • l'évaluation
  • la stimulation
  • la systématisation.

Cinq facteurs

Les principaux termes qui entrent dans la définition du signe sont :

  • le stimulus (le signal physique employé, par exemple un son vocal)
  • le signifiant (le modèle dont le stimulus constitue une manifestation, par exemple un phonème)
  • le signifié (le sens, le contenu du signe)…
  • le concept (la représentation mentale à laquelle correspond le signifié), soit logique, soit psychologique
  • le référent (ce dont on parle quand on emploie tel signe) ().

L'approche « Caractéristiques et critères »

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Le nœud carré sur les foulards des scouts francophones est hautement symbolique, car il définit plusieurs des valeurs du scoutisme (égalité, ordre, harmonie, solidarité…) transcrites dans la structure du nœud[réf. souhaitée].

La notion de symbole fait jouer plusieurs critères, pour distinguer, entre eux, les types de symboles. Origine : naturelle ou culturelle ? Référence : explicite ou implicite ? Composition : unique (la couleur jaune est simple) ou plurielle (la couleur violette a deux éléments, le rouge et le bleu) ? Signification : objective ou subjective ? Substance : inerte ou vivante, matérielle ou psychique, visuelle ou sonore, objet ou événement… ? Domaine : vie quotidienne ou art, rêve ou pensée, mythe ou rite...? Finalités : information sociale ou expression intime… ?

La tortue est le symbole de la lenteur : la correspondance entre le symbolisant « tortue » et le symbolisé « lenteur » est naturelle (la tortue est lente, par nature), plurielle (la tortue est lente, non seulement par sa marche, mais encore par sa mastication, etc.), polysémique (la tortue symbolise, non seulement la lenteur, mais encore la résistance passive, la longévité, etc.), explicite (à voir la tortue on saisit immédiatement pourquoi elle représente la lenteur), objective (le lien tortue/lenteur est impartial et universel)…

Critère fondamental : selon T. Todorov (1978), « un texte ou un discours devient symbolique à partir du moment où, par un travail d’interprétation, nous lui découvrons un sens indirect ». Par exemple, « Il fait froid ici » peut, selon son sens direct, signifier qu’il fait froid ici. Toutefois, s’il est adressé à une tierce personne se trouvant dans la même pièce que l’énonciateur, ce même énoncé peut signifier à l’autre, indirectement, de fermer la fenêtre.

Anthropologie

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La science à la fin du XIXe siècle en Occident a fait partie des projets de société. « La société s'améliore » a pu être un slogan, avec une vision forte conjointe, celle que « ce qui ne peut être expérimental n'est pas avéré ». Dans une époque où on préférait plus chiffrer et moins évaluer par tractations, époque dans une culture du conflit admis et même préféré. La culture populaire locale pose dès lors le problème de la magie, de l'ésotérisme, des mythes, des rites, des religions, des cérémonies, des croyances et des symbolismes.

Les symboles représentent, sous forme imagée et souvent fantaisiste, un objet ou un événement dont on n’a pas, ou plus, la vision réelle et auquel on veut donner un sens particulier ou lui induire une croyance.

Toutefois le symbole garde entièrement sa valeur et son sens moral.

L'Anthropologie va utiliser et l'Histoire et les différents modèles établis sur les symboles et établir de ce fait une grande partie de la symbolique.

Préhistoire

Article détaillé : Art préhistorique.

Dès le Paléolithique supérieur, on peut émettre l'hypothèse de symboles. L'utilisation de l'ocre rouge, attestée il y a 280 000 ans, est peut-être symbolique. Certains signes vieux de 35 000 ans (os de l’abri Blanchard à Sergeac en Dordogne) semblent ou des symboles ou des signes attestant d’observations des cycles solaires, lunaires et stellaires. On a des amulettes dès 35 000 av. J.-C. Dans certaines grottes, on trouve des mains négatives par centaines (Gargas, Pech Merle, 25 000 av. J.-C.). Les animaux chassés (principalement des rennes) mais surtout ceux observés sans être chassés (félins, chevaux, bisons) étaient dessinés avec une grande précision sur les parois, les voûtes et le sol des grottes ornées, à des profondeurs où l'homme n'avait pas établi d'habitat. Ces dessins avaient sans doute une portée symbolique et magique. Les premières grottes-sanctuaires (grottes de Lascaux, de Niaux, des Trois-Frères, du Portel) datent d'au moins 16 000 av. J.-C. Les humains étaient souvent représentés de manière peu réaliste, comme volontairement flous, déformés. De même des figures mi-humaines mi-animales sont connues.

Au Néolithique, de 4 800 à 1 300 av. J.-C., l'homme a élevé des monuments mégalithiques en terre et en pierres comme les dolmens, des sépultures collectives avec une finalité institutionnelle visant la cohésion d'une collectivité stable et sédentaire que l'on peut considérer comme une société à part entière avec son symbolisme religieux, ses rites et cérémonies magiques et sa culture. Les monuments mégalithiques ainsi que la plupart des temples pouvaient avoir un symbolisme astronomique accompagnant la découverte des principes fondamentaux de l'astronomie (année solaire, cycle lunaire, cartographie céleste, mesure du temps) et des mathématiques, principes conduisant au développement de l'astrologie et des divinations.

Avec l'histoire, qui coïncide avec l'invention de l'écriture à Sumer, vers 3 200 av. J.-C., apparurent les premiers mythes fondateurs et récits religieux, magiques, littéraires.

La perspective religieuse

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Divers symboles religieux.

Symboles bibliques

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Le fond de cet article relatif à la religion ou à l'architecture religieuse est à vérifier (octobre 2007).

La Bible est pleine de symboles, comme cela est souvent le cas pour les textes sacrés. Ils servent à tenter d'exprimer l'indicible (le sentiment de Dieu, la foi, les pressentiments…). Le livre de l'Apocalypse est un bon exemple de livre biblique riche en symboles (le dragon, l'agneau, la bête, les quatre cavaliers, etc.). La lecture en est même difficile pour les non-spécialistes. Les chiffres dans la Bible ont également une portée symbolique. Par exemple, 4 = le monde, 7 = perfection, 40 = le temps d'une génération, etc. Ainsi, pour comprendre un symbole biblique, il est parfois nécessaire de lire les autres récits bibliques où ce symbole apparaît, afin d'y trouver un sens commun et de mieux le comprendre.

Chez les chrétiens, on a conservé comme affirmation de la foi ce qu'on appelle le « symbole des apôtres », également connu sous le nom de Credo. Le mot symbole fait référence à deux moitiés qui vont ensemble, et que l'on peut retrouver aisément. Ainsi le symbole des apôtres peut se réciter sur les doigts des deux mains, et les deux mains se rejoignent comme les deux moitiés du symbole. Chaque doigt de la main droite trouve son équivalent à la main gauche. Pour plus de précisions, voir le paragraphe qui reprend les deux parties du Credo et les relie.

« Symboles » des sciences

Mathématiques

Article détaillé : Table de symboles mathématiques.

Les mathématiques traitent de relations entre des objets rigoureusement définis. Pour désigner ces objets avec concision, et permettre de formuler des relations clairement pour ceux qui connaissent ces définitions, on utilise des noms conventionnels — par exemple laplacien —, des abréviations — sin pour sinus — et, très souvent, une écriture purement conventionnelle et particulière à la discipline, comme les signes en arithmétique. Toutes ces façons de désigner des objets ou des opérations mathématiques ont précisément la même nature : ce sont des index vers une définition.

Cet usage libre du mot symbole, dans un domaine d'où les associations imprécises sont proscrites, prend souvent la forme d'une lettre de l'alphabet romain ou de l'alphabet grec, parfois modifiés (ℝ designe l'ensemble des nombres réels, etc.), inversés comme le nabla ∇ ou les signes de la théorie des ensembles (∀, ∃, etc.). Des conventions d'écriture permettent de distinguer une lettre dans son usage courant et en tant que signe mathématique ou physique.

Sciences de la nature et technologie

Articles connexes : Liste de symboles scientifiques et Liste d'abréviations en physique.

Dans les sciences de la nature, « symbole » a le sens de signe logico-mathématique : une lettre désigne une grandeur définie ailleurs. Pour faciliter la communication, des grandeurs d'usage fréquent se désignent par des signes et abréviations usuelles — v pour vitesse, etc..

On exprime une unité de mesure par un nom ou une abréviation conventionnels, qu'on distingue, dans un imprimé, d'un nom de variable par une écriture en romain et non en italique.

Étymologie

Le mot « symbole » vient du latin symbolus ou symbolum, lui-même emprunté au grec σύμβολον / súmbolon signifiant « objet coupé en deux dont les parties réunies à la suite d'une quête permettent aux détenteurs de se reconnaître ». Les racines grecques « sym- » et « -bole » viennent respectivement des mots σύν / sún (« avec, ensemble ») et βάλλω / bállô, « lancer, jeter ».

Étymologiquement, « symbole » est l'antonyme de « diable ». Ce mot vient en effet du latin diabolus, lui-même emprunté au grec διάβολος / diábolos signifiant « qui désunit » et venant de la préposition διά / diá, « en séparant ») et du verbe mentionné ci-dessus βάλλω / bállô. La racine grecque « dia- » est l'antonyme de « sym- ».

Notes et références

  1. Alain Bouvier, Michel George et François Le Lionnais, Dictionnaire des mathématiques, Presses universitaires de France, 2001 (1re éd. 1979).
  2. Symbole : [1] — Larousse.
  3. CNRTL [2].
  4. Anne Souriau (dir.), Vocabulaire d'esthétique : par Étienne Souriau (1892-1979), Paris, PUF, coll. « Quadrige », 2010 (1re éd. 1990), 1493 p. (ISBN 9782130573692), p. 1405 « Symbole ».
  5. Sperber 1974.
  6. Jean Laplanche, Jean-Bertrand Pontalis et Daniel Lagache (dir.), Vocabulaire de la psychanalyse, PUF, 1967.
  7. ↑ a b et c T. Todorov, Symbolisme et interprétation, 1978, p. 9.
  8. Sperber 1974, p. 152.
  9. Todorov 2013, p. 9.
  10. Aristote, De l'interprétation, 16a, cité par Todorov 2013, p. 14.
  11. Todorov 2013, p. 28.
  12. Todorov 2013, p. 138 notamment, cité par Dan Sperber, « T. Todorov, Théories du symbole [compte-rendu] », L'Homme, nos 18-3-4,‎ 1978, p. 203-205.
  13. André Lalande (dir.), Vocabulaire technique et critique de la philosophie, Presses universitaires de France, 1901-1923.
  14. Charles Peirce, Elements of logic (1903). Recueil, traduit : Écrits sur le signe, Seuil, 1978.
  15. Dan Sperber et Deirdre Wilson, La pertinence : communication et cognition, Paris, Minuit, 1989, 400 p. (ISBN 9782707313058), p. 18.
  16. Paul Ricœur, Le conflit des interprétations, Seuil, 1969, p. 16.
  17. Pierre Emmanuel, « Polarité du symbole », Études carmélitaines, 1960, p. 79.
  18. Amadou Hampaté Bâ, Kaydara, UNESCO, p. 56.
  19. (en) Carl-Gustav Jung, Man and his symbols, Londres, Picador, 1964, p. 15
  20. La dénomination peut pour des cas d'étude être un identifiant.
  21. (ex / in).
  22. Oswald Ducrot et Jean-Marie Schaeffer, Nouveau dictionnaire encyclopédique des sciences du langage, Seuil, 1995, p. 217.
  23. Gottlob Frege (trad. Claude Imbert), « Sens et dénotation (1892) », dans Écrits logiques et philosophiques, Seuil, 1971 (ISBN 2020027429), p. 102-126
  24. Dès 1897, le logicien Charles Sanders Peirce estime que le signe est une triade : Écrits sur le signe, trad., 1978.
  25. (en) Charles Kay Ogden et Ivor Armstrong Richards,  (en), Londres, Paul Kegan, 1923 (lire en ligne).
  26. Charles W. Morris, Foundations of the Theory of Signs, article pour l'International Encyclopedia of Unified Science, vol. I, no 2, Chicago, 1938, p. 77-138, repris in Writings on the General Theory of Signs, La Haye, 1971. Trad. fr. par J.-P. Paillet, Langages, no 35, septembre 1974, p. 17.
  27. Charles W. Morris, Signs, Language and Behavior, Englewood Cliffs, 1946.
  28. Pierre Guiraud, La sémiologie, PUF, coll. « Que sais-je ? », 1971.
  29. Stella Baruk, « Symbole », dans Dictionnaire de mathématiques élémentaires [détail des éditions].
  30. Richard Taillet, Loïc Villain et Pascal Febvre, Dictionnaire de physique, Bruxelles, De Boeck, 2013, p. 751.
  31. « SYMBOLE : Définition de SYMBOLE », sur www.cnrtl.fr (consulté le 23 novembre 2022)
  32. « diable », dans Wiktionnaire, 23 novembre 2022 (lire en ligne)
  33. « διά », dans Wiktionnaire,‎ 29 septembre 2021 (lire en ligne)

Voir aussi

Sur les autres projets Wikimedia :

  • les symboles, sur Wikimedia Commons
  • symbole, sur le Wiktionnaire
  • Symbole, sur Wikiquote

Bibliographie

(par ordre alphabétique d'auteur)

  • René Alleau, La science des symboles. Contribution à l’étude des principes et des méthodes de la symbolique générale, Paris, Éditions Payot & Rivages, 1996
  • Luc Benoist, Signes, symboles et mythes, Presses universitaires de France, coll. « Que sais-je ? », 2019, 11e éd. (1re éd. 1998)
  • Hans Biedermann (1989), version française Michel Cazenave (1996), Encyclopédie des Symboles, Livre de Poche, « Encyclopédies d'aujourd'hui »
  • Bianchi, Jean-Émile, L'Éveil spirituel sur la voie des symboles, Groslay, Éditions Ivoire-Clair, 2010
  • Chevalier, Jean et Gheerbrant Alain, Dictionnaire des symboles. Mythes, rêves, coutumes, gestes, formes, figures, couleurs, nombres Paris, Robert Laffont, « Bouquins », 1982
  • (en) Mary Douglas, Natural symbols, 1996, 2e éd. (1re éd. 1966)
  • Dufour-Kowalski, Emmanuel, Symbolique du Pentagramme, Genève, Slatkine, 2012 (ISBN 9782051024426)
  • Gattegno, David, B.A.-BA symboles, Pardès, 2000
  • Girard, Marc, Les symboles dans la Bible (Recherches Nouvelle Série, 26), Montréal, Cerf/Bellarmin, 1992
  • Élysabeth Leblanc, La puissance symbolique dans nos vies, Paris, Magnard « Essentialis », 1997 (ISBN 9782912663047)
  • Miquel, Don, Petit traité de théologie symbolique, Foi Vivante, Paris, Cerf, 1987
  • Dan Sperber, Le symbolisme en général, Paris, Hermann, 1974, 163 p. (ISBN 2705657711)
  • Luc Nefontaine et Baudouin Decharneux, Le symbole, Presses universitaires de France, coll. « Que sais-je ? », 2015, 3e éd. (1re éd. 1998)
  • Schwaller de Lubicz, Propos sur Ésotérisme et Symbole, Paris, La Colombe, 1960. Réédition Dervy-Livres, 2015  (ISBN 979-1024201061)
  • Carole Sédillot et Élisabeth Zana, ABC du symbole, Grancher, 2007 (ISBN 2733909460)
  • Tzvetan Todorov, Théories du symbole, Paris, Seuil, coll. « Points », 2013 (1re éd. 1977)

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Auteur: www.NiNa.Az

Date de publication: 31 Mai, 2025 / 22:50

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Un symbole peut etre un objet une image un mot ecrit un son voire un etre vivant ou une marque particuliere qui represente quelque chose d autre par association ressemblance ou convention Si ce bandeau n est plus pertinent retirez le Cliquez ici pour en savoir plus Certaines informations figurant dans cet article ou cette section devraient etre mieux reliees aux sources mentionnees dans les sections Bibliographie Sources ou Liens externes juillet 2021 Pour les articles homonymes voir Symbole homonymie DefinitionCertains domaines notamment scientifiques et techniques font un usage extensif du concept de symbole qui designe une ecriture qui represente une abstraction C est ainsi que les mathematiques definissent le calcul symbolique En philosophie et en sciences humaines et sociales on tend a distinguer un signe qui a un sens precis comme les panneaux du code de la route dont un texte reglementaire indique avec le moins d ambiguite possible la signification d un symbole qui renvoie a un ensemble plus confus de pensees Un symbole peut etre un objet une image une forme reconnaissable eventuellement associee a un champ chromatique un mot un son toute une marque qui represente quelque chose d autre par association ressemblance ou convention Cela peut etre une personne une figure symbolique de quelque chose une formule de reconnaissance d individus appartenant a un groupe un signal gestuel ou bien un signe dessine ou sculpte L aspect culturel est predominant Signe et symbole Le symbole ne doit pas etre confondu avec le signe car il n est pas conventionnel et intellectuel mais appel de l imagination sensible vers un spirituel qu il suggere sans le signifier Anne Souriau Vocabulaire d esthetique Les sciences humaines et sociales distinguent symbole et signe Les signes par exemple les emblemes renvoient a une signification precise conventionnelle tandis que les symboles evoquent laissant la possibilite d associations mentales diverses En linguistique on etudie une paire signifie et signifiant Un signe linguistique est une forme contingente associee a un concept Ce qu evoque un symbole varie selon le contexte les individus penchent plus ou moins pour un sentiment ou une interpretation selon le contexte et selon leur evolution psychologique La psychanalyse pose que tout evenement qu une parole peut evoquer dans la cure peut s entendre comme un symbole relie a un affect fondamental par exemple un symbole paternel relie au pere Le symbole est la base pour des analogies pertinentes des homologies des associations d idees des connotations des relations entre le sens premier du symbole et les sens figures qui permettent cette extraction Un signe peut trouver une application symbolique quand son sens est manifestement incongru dans le contexte ou que l on fait un effort delibere pour l associer plus librement au dela de la convention La semiotique donne a signe un sens plus general qu a symbole un symbole peut aussi bien se comprendre comme un signe relie par des liens elastiques a des significations qu un signe comme un symbole dont une convention fixe la signification Perspective historique Le sens du mot symbole a varie au cours de son emploi de sorte que les reflexions d un auteur ancien peuvent porter a confusion Le mot symbole est issu du grec ancien symbolon sumbolon derive du verbe symballomai sumballomai mettre ensemble apporter son ecot comparer de syn sun avec et ballw ballo lancer jeter Un sumbolon etait un tesson de poterie casse en deux morceaux et partage entre deux contractants Pour liquider le contrat il fallait faire la preuve de sa qualite en rapprochant les deux morceaux qui devaient s emboiter parfaitement Par la suite des formes d abstraction comme le langage ou la gestuelle ont pu remplacer les objets dans leur fonction de representer un engagement une promesse une alliance un contrat un pacte scelle entre deux partenaires par exemple une poignee de main sera le symbole d un accord Dans ce sens un symbole est donc un objet sensible qu on pose cote a cote avec une realite abstraite ou surnaturelle qu il est destine a representer Le symbole est le terme visible d une comparaison dont l autre terme est invisible ref souhaitee Aristote emploie par metaphore symbole pour designer une correspondance Les sons emis par la voix sont les symboles des etats d ame les mots parles ne sont pas chez tous les hommes les memes bien que les etats de l ame dont ces expressions sont les signes immediats soient identiques chez tous comme sont identiques aussi les choses dont ces etats sont les images L hermeneutique grecque distingue deux modes de reception du langage la comprehension pour le langage clair l interpretation pour le langage obscur Heraclite dit de l Oracle de Delphes qu il ne dit rien ni ne cache rien mais il signifie Porphyre de Tyr rapporte que Pythagore enseignait soit en developpant sa pensee soit en usant de symboles Jusqu a la fin de l epoque classique au debut du XVIII e siecle le symbole est une question et une figure de rhetorique L esthetique se fonde sur l imitation de la nature dont l image est le signe idealise On parle de symbole lorsque le spectateur peine a rapprocher ce qu il voit d une signification conventionnelle L epoque romantique repudie ensuite la rhetorique et avance deux traits de la conception moderne du symbole les romantiques n admettent pas de norme pour les productions artistiques ni pour leur interpretation l art est a lui meme sa propre fin et l interpretation du symbole n est ni codifiee ni codifiable Au debut du XX e siecle Le symbole est un signe concret evoquant par un rapport naturel quelque chose d absent ou d impossible a percevoir Ce sens est proche de celui de la rhetorique Mais Peirce distingue icone signe qui ressemble a un objet comme le portrait indice signe qui permet d inferer l existence d un objet comme la fumee pour le feu et symbole signe qui renvoie a l objet par convention comme une croix verte montre une pharmacie La semiotique considere a sa suite que le symbole est une variete de signe qu il est possible d associer par une theorie appropriee a une signification Paul Ricœur appelle symbole toute structure de signification ou un sens direct primaire litteral designe par surcroit un autre sens indirect secondaire figure qui ne peut etre apprehende qu a travers le premier Les auteurs doivent convenir qu un symbole est passible d interpretations variables selon le contexte et la personne qui le considere Tzvetan Todorov ecrit un texte ou un discours devient symbolique a partir du moment ou par un travail d interpretation nous lui decouvrons un sens indirect Jean Chevalier donne quelques caracteristiques qui amenent a interpreter plutot que comprendre Obscurite le symbole depasse l entendement intellectuel et l interet esthetique Il est un terme apparemment saissisable dont l insaisissable est l autre terme Pluridimensionnalite Chaque symbole condense plusieurs faces formes sens interpretations Un personnage de Amadou Hampate Ba s ecrie O mon frere apprends que chaque symbole a un deux plusieurs sens Relativite Les symboles varient selon le contexte ils revetent une grande diversite iconographique ou litteraire ils sont percus differemment selon qu on est eveille ou endormi createur ou interprete Fonctions du symboleLa representation d une cle dans une serrure est souvent un symbole sexuel mais pas toujours selon Carl Gustav Jung Cette section ne cite pas suffisamment ses sources juillet 2021 Pour l ameliorer ajoutez des references de qualite et verifiables comment faire ou le modele Reference necessaire sur les passages necessitant une source La premiere des fonctions ref necessaire du symbole est la fonction semiotique il signifie quelque chose il designe comme tout signe ref necessaire Le symbole est une representation porteuse de sens C est un systeme signifiant relevant de la connotation par exemple le carre peut designer le nombre quatre ref necessaire Une deuxieme fonction du symbole est la fonction revelatrice Le symbole apparait ainsi comme la realite visible accessible aux cinq sens qui invite a decouvrir des realites invisibles Ce qu un signe ordinaire ne permet pas de dire le symbole le permet Le symbole traduit l intraduisible eclaire l obscur Par exemple le Soleil qui eblouit permet de presenter l inaccessibilite de Dieu l ocean figure l infini de l amour ref necessaire Fonction universalisante les symboles fondes sur une correlation naturelle entre symbolisant et symbolise sont de partout et de toujours Par exemple de nombreuses cultures symbolisent l inalterabilite par l or Une autre fonction est la fonction transformatrice pour le psychisme Selon la psychologie des profondeurs Carl Gustav Jung un symbole contient une grande energie que l homme peut transformer en l amplifiant en la sublimant en la reorientant Par exemple certains malades se guerissent en travaillant sur des couleurs des sons leurs reves leurs fantasmes conscients ou leurs fantasmes inconscients ref souhaitee Une autre fonction est la fonction magique ref necessaire le symbole de facon formelle ou de facon concrete agit sur les choses indirectement analogiquement Par exemple un magicien croit a tort ou a raison que le nombre treize par une vertu occulte qui echappe a la raison et a la science physique porte malheur L etude du symbole en generalArticles connexes Symbologie et Hermeneutique Les disciplines semiologie et semiotique sont occidentales Elles sont dans le francais courant confondues Le schema ou plan qui organise l etude des signes et signaux symboliques se fait en plusieurs divisions ou sous ensembles des objets d etude La modelisation le referentiel est plus ou moins rigide et adapte plutot a une etude dont il est issu qu a une autre Le signe donne doit pouvoir parler comme symbole et donc etre identifie comme symbole plus ou moins flou avec des termes qui ne sont pas forcement un nom mais des associations d attribut s particuliers L effet etudie devient fonction etudiee Les autres constituants deviennent information selon la modelisation des perceptions simples qui font l objet de la constatation recherchee La semiologie theorise au depart en deux divisions Signifie et signifiant autrement enonce aussi le Signifiant et le signifie suivant le point de vue adopte Ce couple ou duplet est etudie au sein de la vie sociale selon Ferdinand de Saussure en 1916 sur les bases de l etude de la langue La semiotique en theorise en general au depart trois divisions avec pour support les modes de production de fonctionnement et de reception des signes mis en systemes de pensee concernant les individus entre eux et dans leur rapport au groupe s Groupe a le sens du meta individu qu est le groupe social Le triangle semiotique est rearrange dans leur importances des faces ou facteurs ou fonctions qui le constituent selon le modele la hierarchie peut y exister dependance Dimension de domaine de culture culture philosophique culture scientifique et dimension de domaine d etude pour son application pratique la medecine la Semiologie medicale la science de la logique la communication avec le commerce etc Le nombre de facteurs etudies donne parfois selon la theorie mise en place un schema des dependances de fonctionnement superieur a celui du triangle Le nombre des faces du schema et ses dimensions cause effet augmente dans l histoire breve de ces sciences La systemique nouvelle science en evolution constante avec les recherches associees transversalement comprenant la psychologie etudie le monde complexe avec ses symboles et la modelisation Schemas Le couple signifiant et signifie Le lien entre le signifiant et le signifie est de l ordre de l analogie de la similitude de la parente de la ressemblance parfois de contraste d antithese d antagonique Selon Jean Marie Schaeffer dans la perspective de Saussure la notion de dimension semantique est le lieu d une ambiguite puisqu elle peut concerner les relations entre signifiant et signifie designatum ou alors celles entre le signe global et le referent denotatum on est evidemment oblige de distinguer entre relation semantique interne au signe et relation referentielle Le triangle sens denotation representation Frege en 1892 distinguait Le sens Sinn le sens est l expression ou la proposition c est la signification la pensee exprimee il peut etre commun a plusieurs personnes La reference denotation Bedeutung la reference est l objet designe ce qu une expression linguistique designe La representation Zeichen la representation est une unite mentale subjective et individuelle Charles S Peirce en 1897 distinguait representamen signe materiel qui denote un object un objet un objet de la pensee grace a un interpretant une representation mentale faite dans la relation entre le representamen et l objet thematique de la pensee un sens porte par le signe Charles K Ogden et Ivor A Armstrong distinguaient en 1923 le symbole terme expression linguistique la reference concept unite de pensee le referent objet partie du monde perceptible ou concevable la Tour Eiffel la vitesse Charles W Morris distingue trois dimensions du signe Semantique la dimension semantique regarde la relation entre le signe et ce qu il signifie Syntaxique la dimension syntaxique regarde la relation des signes entre eux Pragmatique la dimension pragmatique regarde la relation entre les signes et les utilisateurs des signes Cinq composants et plus Mis en deux divisions schematiques de quatre huit facteurs de domaine et d etude Charles W Morris en 1938 distingue dans le signe quatre identifiants de dependance fonctionnelle 4 uplets le vehicule du signe ce qui agit comme signe le designatum ce a quoi le signe refere l effet produit sur un certain interprete l interprete la personne pour qui le signe a fonction de signe Et quatre usages en dependance du signe l information l evaluation la stimulation la systematisation Cinq facteurs Les principaux termes qui entrent dans la definition du signe sont le stimulus le signal physique employe par exemple un son vocal le signifiant le modele dont le stimulus constitue une manifestation par exemple un phoneme le signifie le sens le contenu du signe le concept la representation mentale a laquelle correspond le signifie soit logique soit psychologique le referent ce dont on parle quand on emploie tel signe L approche Caracteristiques et criteres Le nœud carre sur les foulards des scouts francophones est hautement symbolique car il definit plusieurs des valeurs du scoutisme egalite ordre harmonie solidarite transcrites dans la structure du nœud ref souhaitee La notion de symbole fait jouer plusieurs criteres pour distinguer entre eux les types de symboles Origine naturelle ou culturelle Reference explicite ou implicite Composition unique la couleur jaune est simple ou plurielle la couleur violette a deux elements le rouge et le bleu Signification objective ou subjective Substance inerte ou vivante materielle ou psychique visuelle ou sonore objet ou evenement Domaine vie quotidienne ou art reve ou pensee mythe ou rite Finalites information sociale ou expression intime La tortue est le symbole de la lenteur la correspondance entre le symbolisant tortue et le symbolise lenteur est naturelle la tortue est lente par nature plurielle la tortue est lente non seulement par sa marche mais encore par sa mastication etc polysemique la tortue symbolise non seulement la lenteur mais encore la resistance passive la longevite etc explicite a voir la tortue on saisit immediatement pourquoi elle represente la lenteur objective le lien tortue lenteur est impartial et universel Critere fondamental selon T Todorov 1978 un texte ou un discours devient symbolique a partir du moment ou par un travail d interpretation nous lui decouvrons un sens indirect Par exemple Il fait froid ici peut selon son sens direct signifier qu il fait froid ici Toutefois s il est adresse a une tierce personne se trouvant dans la meme piece que l enonciateur ce meme enonce peut signifier a l autre indirectement de fermer la fenetre AnthropologieCette section ne cite pas suffisamment ses sources juillet 2021 Pour l ameliorer ajoutez des references de qualite et verifiables comment faire ou le modele Reference necessaire sur les passages necessitant une source La science a la fin du XIX e siecle en Occident a fait partie des projets de societe La societe s ameliore a pu etre un slogan avec une vision forte conjointe celle que ce qui ne peut etre experimental n est pas avere Dans une epoque ou on preferait plus chiffrer et moins evaluer par tractations epoque dans une culture du conflit admis et meme prefere La culture populaire locale pose des lors le probleme de la magie de l esoterisme des mythes des rites des religions des ceremonies des croyances et des symbolismes Les symboles representent sous forme imagee et souvent fantaisiste un objet ou un evenement dont on n a pas ou plus la vision reelle et auquel on veut donner un sens particulier ou lui induire une croyance Toutefois le symbole garde entierement sa valeur et son sens moral L Anthropologie va utiliser et l Histoire et les differents modeles etablis sur les symboles et etablir de ce fait une grande partie de la symbolique Prehistoire Article detaille Art prehistorique Des le Paleolithique superieur on peut emettre l hypothese de symboles L utilisation de l ocre rouge attestee il y a 280 000 ans est peut etre symbolique Certains signes vieux de 35 000 ans os de l abri Blanchard a Sergeac en Dordogne semblent ou des symboles ou des signes attestant d observations des cycles solaires lunaires et stellaires On a des amulettes des 35 000 av J C Dans certaines grottes on trouve des mains negatives par centaines Gargas Pech Merle 25 000 av J C Les animaux chasses principalement des rennes mais surtout ceux observes sans etre chasses felins chevaux bisons etaient dessines avec une grande precision sur les parois les voutes et le sol des grottes ornees a des profondeurs ou l homme n avait pas etabli d habitat Ces dessins avaient sans doute une portee symbolique et magique Les premieres grottes sanctuaires grottes de Lascaux de Niaux des Trois Freres du Portel datent d au moins 16 000 av J C Les humains etaient souvent representes de maniere peu realiste comme volontairement flous deformes De meme des figures mi humaines mi animales sont connues Au Neolithique de 4 800 a 1 300 av J C l homme a eleve des monuments megalithiques en terre et en pierres comme les dolmens des sepultures collectives avec une finalite institutionnelle visant la cohesion d une collectivite stable et sedentaire que l on peut considerer comme une societe a part entiere avec son symbolisme religieux ses rites et ceremonies magiques et sa culture Les monuments megalithiques ainsi que la plupart des temples pouvaient avoir un symbolisme astronomique accompagnant la decouverte des principes fondamentaux de l astronomie annee solaire cycle lunaire cartographie celeste mesure du temps et des mathematiques principes conduisant au developpement de l astrologie et des divinations Avec l histoire qui coincide avec l invention de l ecriture a Sumer vers 3 200 av J C apparurent les premiers mythes fondateurs et recits religieux magiques litteraires La perspective religieuseDivers symboles religieux Symboles bibliques Si ce bandeau n est plus pertinent retirez le Cliquez ici pour en savoir plus Le fond de cet article relatif a la religion ou a l architecture religieuse est a verifier octobre 2007 La Bible est pleine de symboles comme cela est souvent le cas pour les textes sacres Ils servent a tenter d exprimer l indicible le sentiment de Dieu la foi les pressentiments Le livre de l Apocalypse est un bon exemple de livre biblique riche en symboles le dragon l agneau la bete les quatre cavaliers etc La lecture en est meme difficile pour les non specialistes Les chiffres dans la Bible ont egalement une portee symbolique Par exemple 4 le monde 7 perfection 40 le temps d une generation etc Ainsi pour comprendre un symbole biblique il est parfois necessaire de lire les autres recits bibliques ou ce symbole apparait afin d y trouver un sens commun et de mieux le comprendre Chez les chretiens on a conserve comme affirmation de la foi ce qu on appelle le symbole des apotres egalement connu sous le nom de Credo Le mot symbole fait reference a deux moities qui vont ensemble et que l on peut retrouver aisement Ainsi le symbole des apotres peut se reciter sur les doigts des deux mains et les deux mains se rejoignent comme les deux moities du symbole Chaque doigt de la main droite trouve son equivalent a la main gauche Pour plus de precisions voir le paragraphe qui reprend les deux parties du Credo et les relie Symboles des sciencesMathematiques Article detaille Table de symboles mathematiques Les mathematiques traitent de relations entre des objets rigoureusement definis Pour designer ces objets avec concision et permettre de formuler des relations clairement pour ceux qui connaissent ces definitions on utilise des noms conventionnels par exemple laplacien des abreviations sin pour sinus et tres souvent une ecriture purement conventionnelle et particuliere a la discipline comme les signes en arithmetique Toutes ces facons de designer des objets ou des operations mathematiques ont precisement la meme nature ce sont des index vers une definition Cet usage libre du mot symbole dans un domaine d ou les associations imprecises sont proscrites prend souvent la forme d une lettre de l alphabet romain ou de l alphabet grec parfois modifies ℝ designe l ensemble des nombres reels etc inverses comme le nabla ou les signes de la theorie des ensembles etc Des conventions d ecriture permettent de distinguer une lettre dans son usage courant et en tant que signe mathematique ou physique Sciences de la nature et technologie Articles connexes Liste de symboles scientifiques et Liste d abreviations en physique Dans les sciences de la nature symbole a le sens de signe logico mathematique une lettre designe une grandeur definie ailleurs Pour faciliter la communication des grandeurs d usage frequent se designent par des signes et abreviations usuelles v pour vitesse etc On exprime une unite de mesure par un nom ou une abreviation conventionnels qu on distingue dans un imprime d un nom de variable par une ecriture en romain et non en italique EtymologieLe mot symbole vient du latin symbolus ou symbolum lui meme emprunte au grec symbolon sumbolon signifiant objet coupe en deux dont les parties reunies a la suite d une quete permettent aux detenteurs de se reconnaitre Les racines grecques sym et bole viennent respectivement des mots syn sun avec ensemble et ballw ballo lancer jeter Etymologiquement symbole est l antonyme de diable Ce mot vient en effet du latin diabolus lui meme emprunte au grec diabolos diabolos signifiant qui desunit et venant de la preposition dia dia en separant et du verbe mentionne ci dessus ballw ballo La racine grecque dia est l antonyme de sym Notes et referencesAlain Bouvier Michel George et Francois Le Lionnais Dictionnaire des mathematiques Presses universitaires de France 2001 1re ed 1979 Symbole 1 Larousse CNRTL 2 Anne Souriau dir Vocabulaire d esthetique par Etienne Souriau 1892 1979 Paris PUF coll Quadrige 2010 1re ed 1990 1493 p ISBN 9782130573692 p 1405 Symbole Sperber 1974 Jean Laplanche Jean Bertrand Pontalis et Daniel Lagache dir Vocabulaire de la psychanalyse PUF 1967 a b et c T Todorov Symbolisme et interpretation 1978 p 9 Sperber 1974 p 152 Todorov 2013 p 9 Aristote De l interpretation 16a cite par Todorov 2013 p 14 Todorov 2013 p 28 Todorov 2013 p 138 notamment cite par Dan Sperber T Todorov Theories du symbole compte rendu L Homme nos 18 3 4 1978 p 203 205 Andre Lalande dir Vocabulaire technique et critique de la philosophie Presses universitaires de France 1901 1923 Charles Peirce Elements of logic 1903 Recueil traduit Ecrits sur le signe Seuil 1978 Dan Sperber et Deirdre Wilson La pertinence communication et cognition Paris Minuit 1989 400 p ISBN 9782707313058 p 18 Paul Ricœur Le conflit des interpretations Seuil 1969 p 16 Pierre Emmanuel Polarite du symbole Etudes carmelitaines 1960 p 79 Amadou Hampate Ba Kaydara UNESCO p 56 en Carl Gustav Jung Man and his symbols Londres Picador 1964 p 15 La denomination peut pour des cas d etude etre un identifiant ex in Oswald Ducrot et Jean Marie Schaeffer Nouveau dictionnaire encyclopedique des sciences du langage Seuil 1995 p 217 Gottlob Frege trad Claude Imbert Sens et denotation 1892 dans Ecrits logiques et philosophiques Seuil 1971 ISBN 2020027429 p 102 126 Des 1897 le logicien Charles Sanders Peirce estime que le signe est une triade Ecrits sur le signe trad 1978 en Charles Kay Ogden et Ivor Armstrong Richards en Londres Paul Kegan 1923 lire en ligne Charles W Morris Foundations of the Theory of Signs article pour l International Encyclopedia of Unified Science vol I no 2 Chicago 1938 p 77 138 repris 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de France coll Que sais je 2019 11e ed 1re ed 1998 Hans Biedermann 1989 version francaise Michel Cazenave 1996 Encyclopedie des Symboles Livre de Poche Encyclopedies d aujourd hui Bianchi Jean Emile L Eveil spirituel sur la voie des symboles Groslay Editions Ivoire Clair 2010 Chevalier Jean et Gheerbrant Alain Dictionnaire des symboles Mythes reves coutumes gestes formes figures couleurs nombres Paris Robert Laffont Bouquins 1982 en Mary Douglas Natural symbols 1996 2e ed 1re ed 1966 Dufour Kowalski Emmanuel Symbolique du Pentagramme Geneve Slatkine 2012 ISBN 9782051024426 Gattegno David B A BA symboles Pardes 2000 Girard Marc Les symboles dans la Bible Recherches Nouvelle Serie 26 Montreal Cerf Bellarmin 1992 Elysabeth Leblanc La puissance symbolique dans nos vies Paris Magnard Essentialis 1997 ISBN 9782912663047 Miquel Don Petit traite de theologie symbolique Foi Vivante Paris Cerf 1987 Dan Sperber Le symbolisme en general Paris Hermann 1974 163 p ISBN 2705657711 Luc Nefontaine et Baudouin Decharneux Le symbole Presses universitaires de France coll Que sais je 2015 3e ed 1re ed 1998 Schwaller de Lubicz Propos sur Esoterisme et Symbole Paris La Colombe 1960 Reedition Dervy Livres 2015 ISBN 979 1024201061 Carole Sedillot et Elisabeth Zana ABC du symbole Grancher 2007 ISBN 2733909460 Tzvetan Todorov Theories du symbole Paris Seuil coll Points 2013 1re ed 1977 Articles connexes Symbolique Symbologie Metaphore Signe Grapheme Pictogramme Logo Symboles electroniques Symbolisme des chiffres Symbolisme des couleurs Symbolisme des figures geometriques Symbolisme des lettres Symbolisme des nombres Symbolisme des sons signification philosophie Sens linguistique Signifiant Signifie Signification Liens externes Notices d autorite GND Tchequie Notices dans des dictionnaires ou encyclopedies generalistes Britannica Den Store Danske Encyklopaedi Enciclopedia italiana Gran Enciclopedia Catalana Treccani Universalis Ressource relative aux beaux arts Grove Art Online Ressource 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