Azərbaycan  AzərbaycanБеларусь  БеларусьDanmark  DanmarkDeutschland  DeutschlandUnited States  United StatesEspaña  EspañaFrance  FranceIndonesia  IndonesiaItalia  ItaliaҚазақстан  ҚазақстанLietuva  LietuvaРоссия  Россияශ්‍රී ලංකාව  ශ්‍රී ලංකාවประเทศไทย  ประเทศไทยTürkiyə  TürkiyəУкраина  Украина
Soutien
www.aawiki.fr-fr.nina.az
  • Maison

L importante famille des Brassicaceae brassicacées anciennement crucifères regroupe des plantes dicotylédones En classif

Brassicaceae

  • Page d'accueil
  • Brassicaceae
Brassicaceae
www.aawiki.fr-fr.nina.azhttps://www.aawiki.fr-fr.nina.az

L'importante famille des Brassicaceae (brassicacées), anciennement crucifères, regroupe des plantes dicotylédones. En classification classique, elle comprend 3 200 espèces réparties en 350 genres dont 78 en France. Ce sont essentiellement des plantes herbacées surtout présentes dans l'hémisphère nord à l'état sauvage ou cultivé, principalement pour la production d'huile (à usage alimentaire et industriel), pour l'alimentation humaine et animale, ou comme plantes d'ornement.

Brassicaceae
image
Matthiola incana.
Classification de Cronquist (1981)
Règne Plantae
Sous-règne Tracheobionta
Division Magnoliophyta
Classe Magnoliopsida
Sous-classe Dilleniidae
Ordre Capparales

Famille

Brassicaceae
Burnett, 1835

Classification APG III (2009)

Classification APG III (2009)
Clade Angiospermes
Clade Dicotylédones vraies
Clade Rosidées
Clade Malvidées
Ordre Brassicales
Famille Brassicaceae

Les plantes appartenant à la famille des Brassicaceae (choux, navet, colza, moutarde, raifort, cresson...) contiennent des glucosinolates qui, sous l’action d’une enzyme endogène (la myrosinase), sont transformés en isothiocyanates, composés soufrés qui ont une saveur plus ou moins âcre et donnent leur goût particulier à leurs préparations culinaires.

La famille des brassicacées comprend des espèces de la flore sauvage spontanée et des espèces cultivées (dont certaines génétiquement modifiées) qui peuvent coexister et échanger des gènes.

Étymologie

Pline l'Ancien donne le nom générique de brassica à plusieurs plantes ressemblant à des choux. Le nom scientifique latin Brassica serait dérivé d'un mot celte, bresic, qui désignait le « chou ».

Statut des Capparacées et Cléomacées

En classification phylogénétique APG II (2003), la famille des brassicacées comprend les Capparacées (comme la sous-famille des Capparoïdées). Le Angiosperm Phylogeny Website [25 août 2006] avait réhabilité les Capparacées, en les séparant des Cléomacées. Les Cléomacées comprennent 300 espèces en 10 genres (dont le genre Cleome, plantes à fleurs décoratives).

Le statut des Capparacées et des Cléomacées est encore discuté.

Principaux genres

  • Voir la liste des genres de Brassicacées

Principaux genres ou espèces cultivés

Légumes

  • Armoracia : genre du Raifort,
  • Barbarea : le cresson de terre (Barbarea verna),
  • Brassica : les choux, la moutarde, les navets, le chou-rave, le colza, le rutabaga, le pe-tsaï (chou chinois),
  • Crambe : le crambe maritime, ou chou marin,
  • Diplotaxis, la fausse roquette : la roquette blanche (Diplotaxis erucoides) et la roquette jaune (Diplotaxis tenuifolia).
  • Eruca : la roquette (Eruca vesicaria),
  • Eutrema : dont Eutrema Japonica, le wasabi, ou raifort japonais,
  • Lepidium : le cresson alénois (Lepidium sativum)
  • Nasturtium : le cresson de fontaine (Nasturium officinalis)
  • Raphanus : les radis noir, rose, rose à bout blanc, rouge, daïkon (Raphanus Sativus).

Plantes oléagineuses

  • Brassica napus : le colza,
  • Brassica rapa : la navette,
  • Camelina sativa : la cameline.
  • Sinapis alba : la moutarde blanche

La sinapine, appelée aussi sinapoylcholine ou 3,5-dimethoxy-4-hydroxycinnamoyl-choline, est l’alcaloïde le plus présent au sein des graines oléagineuses de cette famille des Brassicacées.

Plantes fourragères

  • Brassica oleracea : les choux fourragers,
  • Brassica napus : le colza fourrager, le rutabaga
  • Brassica rapa subsp. rapa : le navet fourrager, la navette,
  • Raphanus sativus : le radis fourrager.
  • Sinapis alba : la moutarde blanche

Plantes ornementales

  • Aubrieta, les aubriettes,
  • Alyssum, les alysses,
  • Erysimum cheiri, la giroflée des murailles,
  • Hesperis matronalis, la julienne des dames,
  • Iberis, les ibéris ou ibérides
  • Lunaria annua, la lunaire annuelle ou monnaie-du-pape,
  • Matthiola longipetala, la giroflée odorante,
  • Parrya.

Modèle biologique

  • Arabidopsis thaliana  : l'arabette des Dames

Quelques genres sauvages

image
Roquette de mer (Cakile).
  • Alliaria, l'alliaire,
  • Cakile, roquette de mer et crambe, chou marin, deux plantes des rivages marins,
  • Capsella, notamment les capselles bourse à pasteur,
  • Cardamine, l'herbe de la Saint-Georges (cardamine des prés),
  • Cochlearia, la cochléaire officinale,
  • Pringlea, le chou de Kerguelen,
  • Rorippa, Rorippa columbiae.
  • Sinapis (arvensis), Sanve, ou Moutarde des champs
  • Sisymbrium

Utilisations

image
Structure de la molécule de glucosinolate. Le groupe R (Radical aglycone) est variable.

Plus de 120 glucosinolates différents ont été isolés et identifiés dans l’ordre botanique des Brassicales, principalement chez les Brassicacées. Ces composés sont des substances de réserve en azote et en soufre pour la plante, notamment pour la synthèse d’acides aminés en cas de nutrition carencée. Présents dans la vacuole de la cellule végétale, ils sont catalysés, sous l’action d’une enzyme endogène (la myrosinase présente dans le cytoplasme) lors de la dégradation de la plante. Ils sont alors transformés en glucose, sulfate, thiocyanates et isothiocyanates qui ont une saveur plus ou moins âcre. Les premières observations sur les propriétés uniques des glucosinolates et des isothiocyanates (connus sous le terme d’huiles de moutarde) sont rapportées au début du XIXe siècle, comme résultats des efforts afin de comprendre l’origine chimique de la saveur piquante des graines de moutarde. Les isothio- et thiocyanates sont des molécules toxiques et volatiles qui quittent la cellule par des fissures dans la paroi cellulaire. La production de ces composés bioactifs participe à la défense des plantes contre les herbivores : répulsion de phytophages, action fongicide, bactéricide et insecticide. Ils sont par contre attractifs pour quelques herbivores capables de les assimiler et qui, de ce fait, se sont spécialisés dans la recherche des Crucifères. Cette évolution a entraîné une « course aux armements », les Crucifères concentrant encore plus de glucosinolates à l'origine du goût piquant des pâtes condimentaires (graines de moutarde, racine de wasabi et de raifort contenant comme glucosinolate principal la sinigrine) mais aussi de la mise au point, dès la fin des années 1970, des variétés de colza dépourvues d'acide érucique (toxique) et de glucosinolates (effet goitrogène nocif dans l'alimentation animale).

Santé

Les isothiocyanates sont connus parmi des agents chimiopréventifs et antimutagènes efficaces, des agents antioxydants. Selon une revue générale de 41 méta-analyses de 303 études individuelles impliquant 13 394 722 participants, il existe des preuves que l'apport de légumes de la famille des brassicacées pourrait être associé à des effets bénéfiques pour la santé, en particulier pour le cancer de l'estomac, le cancer du poumon, le cancer de l'endomètre et la mortalité toutes causes confondues.

Médicinales

Les isothiocyanates des différentes plantes de cette famille ont des propriétés stimulantes, digestives, antiseptiques et expectorantes (mucolytiques),.

Alimentaires

Article connexe : liste de plantes alimentaires.

80 % de la nourriture d'origine végétale est assurée par seulement 17 familles botaniques dont les principales sont les Poaceae (graminées), les Fabaceae (légumineuses) et les Brassicaceae

La plupart des Brassicaceae, même sauvages sont comestibles (feuille, tige et fleur à consommer en petite quantité car les essences sulfurées sont irritantes, voire rubéfiantes et vésicantes), à l'exception des vélars fausse Giroflée ou des giroflées des murailles potentiellement dangereuses (présence d'hétérosides cardiotoxiques), bien qu'elles ne semblent pas avoir provoqué d'accidents sérieux. Leur saveur est trop amère pour qu'on puisse avoir envie de les consommer en quantité.

Cosméceutique

Plusieurs Brassicacées sont utilisées en  (en). Certains produits commerciaux en dermonutrition contiennent parmi leurs ingrédients un extrait de Crucifère (huile de caméline, extrait de cresson)..

Aspects sanitaires

Les brassicacées sont parasitées ou mangées par de nombreux phytophages (généralistes ou spécialistes), dont pucerons, larves de lépidoptères (piérides notamment) et de diptères qui constituent pour certaines d’importants « ravageurs » agricoles. C'est une des raisons pour lesquelles des OGM ont été produits au sein de cette famille, avec le risque que les gènes de résistances soient transmis à des parents sauvages qui pourraient devenir des « super-mauvaises herbes » résistantes à leurs prédateurs naturels.

L'utilisation de variétés cultivées résistantes aux pathogènes est souvent limitée par leurs autres caractéristiques telles que le rendement ou la qualité, qui ne correspondent pas aux attentes de la production, du commerce ou des consommateurs. L'interdiction progressive de fumigants favorise la recherche de méthodes biologiques visant à réduire le nombre de pathogènes, de ravageurs et de semences de mauvaises herbes dans le sol. La biofumigation est basée sur l’utilisation de plantes riches en glucosinolates, principalement des crucifères.

Caractéristiques générales

Les feuilles ou les fleurs froissées dégagent une odeur piquante soufrée proche du chou ou des fanes de radis, de navet.

Appareil végétatif

Ce sont des plantes herbacées, parfois un peu ligneuses à la base, comme chez la giroflée des murailles, à racine pivotante, simple ou ramifiée, quelquefois renflée. Les feuilles sont ordinairement alternes, suivant une phyllotaxie spiralée, ou toutes basilaires (disposées en rosette basale et souvent de forme lyrée-pennatifide). Sans stipules, elles ont un limbe simple entier souvent lobé ou découpé. L'acaulie est relativement fréquente. Les tiges sont souvent couvertes de trichomes unicellulaires variés et de trichomes glanduleux pluricellulaires, le type de pilosité faisant partie des critères de détermination.

Appareil reproducteur

image
Fleurs de tabouret des Alpes.

L'inflorescence la plus fréquente est une grappe généralement simple, se condensant parfois en une fausse ombelle ou corymbe (Iberis), le plus souvent sans bractées (perte évolutive). Souvent odorante et généralement de couleur vive, cette inflorescence attire les insectes. L'existence de nectaires renforce ce caractère d'entomophilie. Exceptionnellement, en l'absence d'insectes, il peut y avoir autofécondation ( (en)). L'inflorescence porte des fleurs habituellement bisexuées, actinomorphes, hexacycliques, et tétramères. Le calice dialysépale est composé de deux cycles de deux sépales disposés en deux paires décussées (en tout quatre sépales caducs). La corolle forme un verticille de quatre pétales libres, caducs, parfois inégaux ou réduits ou nuls, en forme de croix, d'où leur ancienne dénomination de « Crucifères » (du latin crucem ferre, « porter une croix ») par Antoine-Laurent de Jussieu en 1789. L'androcée anisostémone, dialystémone, anisodyname et tétradyname est composé de six étamines à déhiscence longitudinale (deux cycles de quatre grandes étamine internes extrorses et deux petites étamines externes introrses). Il est accompagné de quatre glandes nectarifères intrastaminales (nectaires discrets ou en anneau), en nombre, forme et position variables. Le dernier cycle correspond à un gynécée formé de deux carpelles soudés à ovaire supère uniloculaire (mais ordinairement biloculaire car subdivisé par une « fausse-cloison », le replum), de styles soudés et stigmates bilobés et persistants. Il contient des ovules campylotropes, bitégumentés à placentation pariétale. La pollinisation est réalisée par entomogamie. L'autopollinisation se produit souvent lorsque les conditions atmosphériques sont mauvaises et dans ce cas, les fleurs, qui ne s'ouvrent pas, se penchent vers le sol : la corolle se ferme à la fin de la floraison et les pétales poussent les anthères contre le stigmate. Le fruit sec à déhiscence septifrage en deux valves, est une silique (capsule allongée et aplatie, à deux loges séparées par la fausse-cloison), ou une silicule (si la longueur n'est pas 3 fois plus grande que la largeur) souvent aplatie. La silique reste parfois indéhiscente, formant un akène si le fruit est monosperme (genre Isatis) ou une silique lomentacée si le fruit se divise en articles akénoïdes transversaux (Raphanus L.). Suivant les genres, l'aplatissement de la silicule peut se produire parallèlement à la cloison (valves larges et plates, cloison large ; silicules qualifiées de « latiseptées »), ou perpendiculairement à la cloison (valves carénées, cloison étroite ; silicules qualifiées de « angustiseptées »). Le fruit contient des graines sur un ou deux rangs, à albumen absent ou très réduit.

Les siliques des Brassicacées sont surmontées d'un « bec » plus ou moins développé et parfois aplati, correspondant à la transformation du style et de la partie supérieure stérile de l'ovaire, au cours de la maturation du fruit. Son aspect est un caractère utile à la diagnose des différents genres et espèces mais cette détermination est souvent délicate, car siliques et silicules peuvent s'observer dans un même genre ou dans des genres voisins par d'autres caractéristiques.

  • image
    Grappe simple de la Cardamine des prés
  • image
    Corymbe chez Iberis umbellata

Sous-familles

APG distingue trois sous-familles qui, dans d'autres classifications, peuvent former trois familles distinctes.

Brassicoïdées

image
Diagramme floral de Brassica
  • Généralement, ce sont des plantes herbacées, en forme de rosette
  • Feuilles généralement alternes et dépourvues de stipules.
  • Fleurs caractéristiques à quatre pétales disposés en croix. La composition de la fleur est constante, à quelques exceptions près : 4 sépales, 4 pétales, 6 étamines dont 2 plus courtes et un pistil diloculaire. L’androcée particulier est dérivé par une forte compression médiane de la fleur qui a occasionné la perte et le déplacement d’un nombre d’étamines médianes.
  • Inflorescence en grappes (racème)
  • Fruits caractéristiques : silique ou silicule, généralement déhiscent, avec toutefois de grandes variations de formes.

Capparoïdées

Article détaillé : Capparacées.

Cléomoïdées

Article détaillé : Cléomacées.

Notes et références

  1. (en) D. Gledhill, The Names of Plants, Cambridge University Press, 2008(lire en ligne), p. 76
  2. Lucien Guyot et Pierre Gibassier, Les noms des plantes, Presses universitaires de France, 1960, p. 51.
  3. ↑ a b c et d Michel Chauvet, Encyclopédie des plantes alimentaires, Belin, 2010(ISBN 978-2-7011-5971-3), p. 194-205
  4. (en) Surinder Kumar Gupta, Biology and breeding of Crucifers, CRC Press, 2016(lire en ligne), p. 162.
  5. ↑ a b et c(en) Barbara Ann Halkier & Jonathan Gershenzon, « Biology and biochemistry of glucosinolates », Annual Review of Plant Biology, vol. 57,‎ 2006, p. 303-333 (DOI 10.1146/annurev.arplant.57.032905.105228).
  6. (de) E. Schnug, « Bestimmung des Gesamtglucosinolatgehaltes in vegetativen Pflanzenteilen durch quantitative Analyse enzymatisch freisetzbaren Sulfates », Fresenius Z. Anal. Chem., 330, 1988, p. 50-55
  7. (de) P. Matile, « Die Senfölbombe »: Zur Kom- partimentierung des Myrosinasesystems, Biochem. Physiol. Pflanzen, 175, 1980, p. 722-731.
  8. (en) S.S. Hecht, « Inhibition of carcinogenesis by isothiocyanates », Drug Metab Rev, vol. 32, nos 3-4,‎ 2000, p. 395-411 (DOI 10.1081/DMR-100102342).
  9. (en) Alessio Papi et al, « Cytotoxic and Antioxidant Activity of 4-Methylthio-3-butenyl Isothiocyanate from Raphanus sativus L. (Kaiware Daikon) Sprouts », J. Agric. Food Chem., vol. 56, no 3,‎ 2008, p. 875–883 (DOI 10.1021/jf073123c).
  10. Yi-Zi Li, Zhi-Yong Yang, Ting-Ting Gong et Ya-Shu Liu, « Cruciferous vegetable consumption and multiple health outcomes: an umbrella review of 41 systematic reviews and meta-analyses of 303 observational studies », Food & Function, vol. 13, no 8,‎ 20 avril 2022, p. 4247–4259 (ISSN 2042-650X, PMID 35352732, DOI 10.1039/d1fo03094a, lire en ligne, consulté le 9 janvier 2023)
  11. François Couplan, Eva Styner, Guide des plantes sauvages comestibles et toxiques, Delachaux et Niestlé, 1994, p. 353
  12. Jean Bruneton, Pharmacognosie, phytochimie, plantes médicinales, éd. Tec&Doc, 1999, p.203
  13. (en) Kathy J. Willis, State of the World's Plants Report. 2017, Royal Botanic Gardens, Kew, p. 8, 2017 (ISBN 978-1-84246-647-6).
  14. « Ingérés en trop grande quantité, ces végétaux se montrent irritants, voire rubéfiants et vésicants, et peuvent occasionner de graves troubles gastro-intestinaux ». Cf François Couplan, Guide nutritionnel des plantes sauvages et cultivées, Delachaux et Niestlé, 2011, p. 92.
  15. François Couplan, Dégustez les plantes sauvages, Editions Ellebore, 2007, p. 133
  16. Sabine Montaut, Patrick Rollin, Gina Rosalinda De Nicola, Arnaud Tatibouët, « Composés bio-actifs des Crucifères : un apport bénéfique dans notre quotidien », Phytotherapie, vol. 10, no 6,‎ décembre 2012, p. 343 (DOI 10.1007/s10298-012-0740-z).
  17. (en) Anne Louise Gimsing, John A. Kirkegaard, « Glucosinolates and biofumigation: fate of glucosinolates and their hydrolysis products in soil », Phytochemistry Reviews, vol. 8, no 1,‎ janvier 2009, p. 299–310.
  18. Elpel, Thomas J.,, Botany in a day : the patterns method of plant identification : an herbal field guide to plant families of North America, 2013, 235 p. (ISBN 978-1-892784-35-3 et 1-892784-35-1, OCLC 847837229, lire en ligne)
  19. Se dit d'une feuille pennatifide ou pennatiséquée dont le lobe terminal, arrondi, est beaucoup plus grand que les autres.
  20. ↑ a b c et d(en) O. Appel, I. A. Al-Shehbaz, « Cruciferae », in Kubitzki, K.Bayer, C. eds. The families and genera of vascular plants, 2003, p. 75-174
  21. ↑ a et b« Famille des Brassicaceae », sur [plantes-botanique.org] (consulté en mai 2018)
  22. (en) R. C. Rollins, U. C. Banerjee, « Trichomes » in Studies of the Cruciferae, Vaughan, J. G.MacLeod, A. J.Jones, B. M. G. eds, The biology and chemistry of the Cruciferae, Academic Press, 1976, p.145-166
  23. Encyclopædia universalis, Encyclopædia universalis France, 1968, p. 177.
  24. Pistil surélevé par un gynophore dans les groupes basaux.
  25. Henk de Wit, Les plantes du monde, Hachette, 1963, p. 244
  26. Philippe Jauzein et Olivier Nawrot, Flore d'Île-de-France. Clés de détermination, taxonomie, statuts, Editions Quae, 2013, p. 247
  27. (en) Louis-Philippe Ronse De Craene, « Floral development and anatomy of Pentadiplandra (Pentadiplandraceae): a key genus in the identification of floral morphological trends in the core Brassicales », Revue canadienne de botanique, vol. 80, no 5,‎ 2002, p. 443 (DOI 10.1139/b02-021).

Voir aussi

Sur les autres projets Wikimedia :

  • Brassicaceae, sur Wikimedia Commons
  • Brassicaceae, sur Wikispecies

Bibliographie

  • (en) I. A. Al-Shehbaz, M. A. Beilstein, E. A. Kellogg, « Systematics and phylogeny of the Brassicaceae (Cruciferae): an overview », Plant Systematics and Evolution, vol. 259, nos 2-4,‎ juillet 2006, p. 89–120 (DOI 10.1007/s00606-006-0415-z)

Articles connexes

  • Hernie des Crucifères
  • Glossaire de botanique

Liens externes

  • (fr) Belles fleurs de France : Brassicaceae
  • (fr) Belles fleurs de France 2 : Brassicaceae
  • (en) Flora of China : Brassicaceae
  • (en) Madagascar Catalogue : Brassicaceae
  • (en) Flora of Chile : Brassicaceae
  • (fr) Tela Botanica (France métro) : Brassicaceae
  • (en) Tree of Life Web Project : Brassicaceae
  • (fr + en) ITIS : Brassicaceae
  • (en) NCBI : Brassicaceae (taxons inclus)
  • (en) Angiosperm Phylogeny Website : Brassicoideae (+ liste genres chez Kew Gardens)
  • (en) DELTA Angio : Brassicaceae

Voir aussi:

  • Koch MA, Kiefer M, German DA, Al-Shehbaz IA, Franzke A, Mummenhoff K, Schmickl R. 2012. BrassiBase: Tools and biological resources to study characters and traits in the Brassicaceae – version 1.1 TAXON 61(5): 1001-1009.
  • Capparaceae, Cleomaceae.
  • image Portail de la botanique

Auteur: www.NiNa.Az

Date de publication: 25 Mai, 2025 / 18:46

wikipedia, wiki, wikipédia, livre, livres, bibliothèque, article, lire, télécharger, gratuit, téléchargement gratuit, mp3, vidéo, mp4, 3gp, jpg, jpeg, gif, png, image, musique, chanson, film, livre, jeu, jeux, mobile, téléphone, android, ios, apple, téléphone portable, samsung, iphone, xiomi, xiaomi, redmi, honor, oppo, nokia, sonya, mi, pc, web, ordinateur

L importante famille des Brassicaceae brassicacees anciennement cruciferes regroupe des plantes dicotyledones En classification classique elle comprend 3 200 especes reparties en 350 genres dont 78 en France Ce sont essentiellement des plantes herbacees surtout presentes dans l hemisphere nord a l etat sauvage ou cultive principalement pour la production d huile a usage alimentaire et industriel pour l alimentation humaine et animale ou comme plantes d ornement Brassicaceae Matthiola incana Classification de Cronquist 1981 Regne PlantaeSous regne TracheobiontaDivision MagnoliophytaClasse MagnoliopsidaSous classe DilleniidaeOrdre Capparales FamilleBrassicaceae Burnett 1835 Classification APG III 2009 Classification APG III 2009 Clade AngiospermesClade Dicotyledones vraiesClade RosideesClade MalvideesOrdre BrassicalesFamille Brassicaceae Les plantes appartenant a la famille des Brassicaceae choux navet colza moutarde raifort cresson contiennent des glucosinolates qui sous l action d une enzyme endogene la myrosinase sont transformes en isothiocyanates composes soufres qui ont une saveur plus ou moins acre et donnent leur gout particulier a leurs preparations culinaires La famille des brassicacees comprend des especes de la flore sauvage spontanee et des especes cultivees dont certaines genetiquement modifiees qui peuvent coexister et echanger des genes EtymologiePline l Ancien donne le nom generique de brassica a plusieurs plantes ressemblant a des choux Le nom scientifique latin Brassica serait derive d un mot celte bresic qui designait le chou Statut des Capparacees et CleomaceesEn classification phylogenetique APG II 2003 la famille des brassicacees comprend les Capparacees comme la sous famille des Capparoidees Le Angiosperm Phylogeny Website 25 aout 2006 avait rehabilite les Capparacees en les separant des Cleomacees Les Cleomacees comprennent 300 especes en 10 genres dont le genre Cleome plantes a fleurs decoratives Le statut des Capparacees et des Cleomacees est encore discute Principaux genresVoir la liste des genres de BrassicaceesPrincipaux genres ou especes cultives Legumes Armoracia genre du Raifort Barbarea le cresson de terre Barbarea verna Brassica les choux la moutarde les navets le chou rave le colza le rutabaga le pe tsai chou chinois Crambe le crambe maritime ou chou marin Diplotaxis la fausse roquette la roquette blanche Diplotaxis erucoides et la roquette jaune Diplotaxis tenuifolia Eruca la roquette Eruca vesicaria Eutrema dont Eutrema Japonica le wasabi ou raifort japonais Lepidium le cresson alenois Lepidium sativum Nasturtium le cresson de fontaine Nasturium officinalis Raphanus les radis noir rose rose a bout blanc rouge daikon Raphanus Sativus Plantes oleagineuses Brassica napus le colza Brassica rapa la navette Camelina sativa la cameline Sinapis alba la moutarde blanche La sinapine appelee aussi sinapoylcholine ou 3 5 dimethoxy 4 hydroxycinnamoyl choline est l alcaloide le plus present au sein des graines oleagineuses de cette famille des Brassicacees Plantes fourrageres Brassica oleracea les choux fourragers Brassica napus le colza fourrager le rutabaga Brassica rapa subsp rapa le navet fourrager la navette Raphanus sativus le radis fourrager Sinapis alba la moutarde blanchePlantes ornementales Aubrieta les aubriettes Alyssum les alysses Erysimum cheiri la giroflee des murailles Hesperis matronalis la julienne des dames Iberis les iberis ou iberides Lunaria annua la lunaire annuelle ou monnaie du pape Matthiola longipetala la giroflee odorante Parrya Modele biologique Arabidopsis thaliana l arabette des DamesQuelques genres sauvages Roquette de mer Cakile Alliaria l alliaire Cakile roquette de mer et crambe chou marin deux plantes des rivages marins Capsella notamment les capselles bourse a pasteur Cardamine l herbe de la Saint Georges cardamine des pres Cochlearia la cochleaire officinale Pringlea le chou de Kerguelen Rorippa Rorippa columbiae Sinapis arvensis Sanve ou Moutarde des champs SisymbriumUtilisationsStructure de la molecule de glucosinolate Le groupe R Radical aglycone est variable Plus de 120 glucosinolates differents ont ete isoles et identifies dans l ordre botanique des Brassicales principalement chez les Brassicacees Ces composes sont des substances de reserve en azote et en soufre pour la plante notamment pour la synthese d acides amines en cas de nutrition carencee Presents dans la vacuole de la cellule vegetale ils sont catalyses sous l action d une enzyme endogene la myrosinase presente dans le cytoplasme lors de la degradation de la plante Ils sont alors transformes en glucose sulfate thiocyanates et isothiocyanates qui ont une saveur plus ou moins acre Les premieres observations sur les proprietes uniques des glucosinolates et des isothiocyanates connus sous le terme d huiles de moutarde sont rapportees au debut du XIX e siecle comme resultats des efforts afin de comprendre l origine chimique de la saveur piquante des graines de moutarde Les isothio et thiocyanates sont des molecules toxiques et volatiles qui quittent la cellule par des fissures dans la paroi cellulaire La production de ces composes bioactifs participe a la defense des plantes contre les herbivores repulsion de phytophages action fongicide bactericide et insecticide Ils sont par contre attractifs pour quelques herbivores capables de les assimiler et qui de ce fait se sont specialises dans la recherche des Cruciferes Cette evolution a entraine une course aux armements les Cruciferes concentrant encore plus de glucosinolates a l origine du gout piquant des pates condimentaires graines de moutarde racine de wasabi et de raifort contenant comme glucosinolate principal la sinigrine mais aussi de la mise au point des la fin des annees 1970 des varietes de colza depourvues d acide erucique toxique et de glucosinolates effet goitrogene nocif dans l alimentation animale Sante Les isothiocyanates sont connus parmi des agents chimiopreventifs et antimutagenes efficaces des agents antioxydants Selon une revue generale de 41 meta analyses de 303 etudes individuelles impliquant 13 394 722 participants il existe des preuves que l apport de legumes de la famille des brassicacees pourrait etre associe a des effets benefiques pour la sante en particulier pour le cancer de l estomac le cancer du poumon le cancer de l endometre et la mortalite toutes causes confondues Medicinales Les isothiocyanates des differentes plantes de cette famille ont des proprietes stimulantes digestives antiseptiques et expectorantes mucolytiques Alimentaires Article connexe liste de plantes alimentaires 80 de la nourriture d origine vegetale est assuree par seulement 17 familles botaniques dont les principales sont les Poaceae graminees les Fabaceae legumineuses et les Brassicaceae La plupart des Brassicaceae meme sauvages sont comestibles feuille tige et fleur a consommer en petite quantite car les essences sulfurees sont irritantes voire rubefiantes et vesicantes a l exception des velars fausse Giroflee ou des giroflees des murailles potentiellement dangereuses presence d heterosides cardiotoxiques bien qu elles ne semblent pas avoir provoque d accidents serieux Leur saveur est trop amere pour qu on puisse avoir envie de les consommer en quantite Cosmeceutique Plusieurs Brassicacees sont utilisees en en Certains produits commerciaux en dermonutrition contiennent parmi leurs ingredients un extrait de Crucifere huile de cameline extrait de cresson Aspects sanitaires Les brassicacees sont parasitees ou mangees par de nombreux phytophages generalistes ou specialistes dont pucerons larves de lepidopteres pierides notamment et de dipteres qui constituent pour certaines d importants ravageurs agricoles C est une des raisons pour lesquelles des OGM ont ete produits au sein de cette famille avec le risque que les genes de resistances soient transmis a des parents sauvages qui pourraient devenir des super mauvaises herbes resistantes a leurs predateurs naturels L utilisation de varietes cultivees resistantes aux pathogenes est souvent limitee par leurs autres caracteristiques telles que le rendement ou la qualite qui ne correspondent pas aux attentes de la production du commerce ou des consommateurs L interdiction progressive de fumigants favorise la recherche de methodes biologiques visant a reduire le nombre de pathogenes de ravageurs et de semences de mauvaises herbes dans le sol La biofumigation est basee sur l utilisation de plantes riches en glucosinolates principalement des cruciferes Caracteristiques generalesLes feuilles ou les fleurs froissees degagent une odeur piquante soufree proche du chou ou des fanes de radis de navet Appareil vegetatif Ce sont des plantes herbacees parfois un peu ligneuses a la base comme chez la giroflee des murailles a racine pivotante simple ou ramifiee quelquefois renflee Les feuilles sont ordinairement alternes suivant une phyllotaxie spiralee ou toutes basilaires disposees en rosette basale et souvent de forme lyree pennatifide Sans stipules elles ont un limbe simple entier souvent lobe ou decoupe L acaulie est relativement frequente Les tiges sont souvent couvertes de trichomes unicellulaires varies et de trichomes glanduleux pluricellulaires le type de pilosite faisant partie des criteres de determination Appareil reproducteur Fleurs de tabouret des Alpes L inflorescence la plus frequente est une grappe generalement simple se condensant parfois en une fausse ombelle ou corymbe Iberis le plus souvent sans bractees perte evolutive Souvent odorante et generalement de couleur vive cette inflorescence attire les insectes L existence de nectaires renforce ce caractere d entomophilie Exceptionnellement en l absence d insectes il peut y avoir autofecondation en L inflorescence porte des fleurs habituellement bisexuees actinomorphes hexacycliques et tetrameres Le calice dialysepale est compose de deux cycles de deux sepales disposes en deux paires decussees en tout quatre sepales caducs La corolle forme un verticille de quatre petales libres caducs parfois inegaux ou reduits ou nuls en forme de croix d ou leur ancienne denomination de Cruciferes du latin crucem ferre porter une croix par Antoine Laurent de Jussieu en 1789 L androcee anisostemone dialystemone anisodyname et tetradyname est compose de six etamines a dehiscence longitudinale deux cycles de quatre grandes etamine internes extrorses et deux petites etamines externes introrses Il est accompagne de quatre glandes nectariferes intrastaminales nectaires discrets ou en anneau en nombre forme et position variables Le dernier cycle correspond a un gynecee forme de deux carpelles soudes a ovaire supere uniloculaire mais ordinairement biloculaire car subdivise par une fausse cloison le replum de styles soudes et stigmates bilobes et persistants Il contient des ovules campylotropes bitegumentes a placentation parietale La pollinisation est realisee par entomogamie L autopollinisation se produit souvent lorsque les conditions atmospheriques sont mauvaises et dans ce cas les fleurs qui ne s ouvrent pas se penchent vers le sol la corolle se ferme a la fin de la floraison et les petales poussent les antheres contre le stigmate Le fruit sec a dehiscence septifrage en deux valves est une silique capsule allongee et aplatie a deux loges separees par la fausse cloison ou une silicule si la longueur n est pas 3 fois plus grande que la largeur souvent aplatie La silique reste parfois indehiscente formant un akene si le fruit est monosperme genre Isatis ou une silique lomentacee si le fruit se divise en articles akenoides transversaux Raphanus L Suivant les genres l aplatissement de la silicule peut se produire parallelement a la cloison valves larges et plates cloison large silicules qualifiees de latiseptees ou perpendiculairement a la cloison valves carenees cloison etroite silicules qualifiees de angustiseptees Le fruit contient des graines sur un ou deux rangs a albumen absent ou tres reduit Les siliques des Brassicacees sont surmontees d un bec plus ou moins developpe et parfois aplati correspondant a la transformation du style et de la partie superieure sterile de l ovaire au cours de la maturation du fruit Son aspect est un caractere utile a la diagnose des differents genres et especes mais cette determination est souvent delicate car siliques et silicules peuvent s observer dans un meme genre ou dans des genres voisins par d autres caracteristiques Grappe simple de la Cardamine des pres Corymbe chez Iberis umbellataSous famillesAPG distingue trois sous familles qui dans d autres classifications peuvent former trois familles distinctes Brassicoidees Diagramme floral de BrassicaGeneralement ce sont des plantes herbacees en forme de rosette Feuilles generalement alternes et depourvues de stipules Fleurs caracteristiques a quatre petales disposes en croix La composition de la fleur est constante a quelques exceptions pres 4 sepales 4 petales 6 etamines dont 2 plus courtes et un pistil diloculaire L androcee particulier est derive par une forte compression mediane de la fleur qui a occasionne la perte et le deplacement d un nombre d etamines medianes Inflorescence en grappes raceme Fruits caracteristiques silique ou silicule generalement dehiscent avec toutefois de grandes variations de formes Capparoidees Article detaille Capparacees Cleomoidees Article detaille Cleomacees Notes et references en D Gledhill The Names of Plants Cambridge University Press 2008 lire en ligne p 76 Lucien Guyot et Pierre Gibassier Les noms des plantes Presses universitaires de France 1960 p 51 a b c et d Michel Chauvet Encyclopedie des plantes alimentaires Belin 2010 ISBN 978 2 7011 5971 3 p 194 205 en Surinder Kumar Gupta Biology and breeding of Crucifers CRC Press 2016 lire en ligne p 162 a b et c en Barbara Ann Halkier amp Jonathan Gershenzon Biology and biochemistry of glucosinolates Annual Review of Plant Biology vol 57 2006 p 303 333 DOI 10 1146 annurev arplant 57 032905 105228 de E Schnug Bestimmung des Gesamtglucosinolatgehaltes in vegetativen Pflanzenteilen durch quantitative Analyse enzymatisch freisetzbaren Sulfates Fresenius Z Anal Chem 330 1988 p 50 55 de P Matile Die Senfolbombe Zur Kom partimentierung des Myrosinasesystems Biochem Physiol Pflanzen 175 1980 p 722 731 en S S Hecht Inhibition of carcinogenesis by isothiocyanates Drug Metab Rev vol 32 nos 3 4 2000 p 395 411 DOI 10 1081 DMR 100102342 en Alessio Papi et al Cytotoxic and Antioxidant Activity of 4 Methylthio 3 butenyl Isothiocyanate from Raphanus sativus L Kaiware Daikon Sprouts J Agric Food Chem vol 56 no 3 2008 p 875 883 DOI 10 1021 jf073123c Yi Zi Li Zhi Yong Yang Ting Ting Gong et Ya Shu Liu Cruciferous vegetable consumption and multiple health outcomes an umbrella review of 41 systematic reviews and meta analyses of 303 observational studies Food amp Function vol 13 no 8 20 avril 2022 p 4247 4259 ISSN 2042 650X PMID 35352732 DOI 10 1039 d1fo03094a lire en ligne consulte le 9 janvier 2023 Francois Couplan Eva Styner Guide des plantes sauvages comestibles et toxiques Delachaux et Niestle 1994 p 353 Jean Bruneton Pharmacognosie phytochimie plantes medicinales ed Tec amp Doc 1999 p 203 en Kathy J Willis State of the World s Plants Report 2017 Royal Botanic Gardens Kew p 8 2017 ISBN 978 1 84246 647 6 Ingeres en trop grande quantite ces vegetaux se montrent irritants voire rubefiants et vesicants et peuvent occasionner de graves troubles gastro intestinaux Cf Francois Couplan Guide nutritionnel des plantes sauvages et cultivees Delachaux et Niestle 2011 p 92 Francois Couplan Degustez les plantes sauvages Editions Ellebore 2007 p 133 Sabine Montaut Patrick Rollin Gina Rosalinda De Nicola Arnaud Tatibouet Composes bio actifs des Cruciferes un apport benefique dans notre quotidien Phytotherapie vol 10 no 6 decembre 2012 p 343 DOI 10 1007 s10298 012 0740 z en Anne Louise Gimsing John A Kirkegaard Glucosinolates and biofumigation fate of glucosinolates and their hydrolysis products in soil Phytochemistry Reviews vol 8 no 1 janvier 2009 p 299 310 Elpel Thomas J Botany in a day the patterns method of plant identification an herbal field guide to plant families of North America 2013 235 p ISBN 978 1 892784 35 3 et 1 892784 35 1 OCLC 847837229 lire en ligne Se dit d une feuille pennatifide ou pennatisequee dont le lobe terminal arrondi est beaucoup plus grand que les autres a b c et d en O Appel I A Al Shehbaz Cruciferae in Kubitzki K Bayer C eds The families and genera of vascular plants 2003 p 75 174 a et b Famille des Brassicaceae sur plantes botanique org consulte en mai 2018 en R C Rollins U C Banerjee Trichomes in Studies of the Cruciferae Vaughan J G MacLeod A J Jones B M G eds The biology and chemistry of the Cruciferae Academic Press 1976 p 145 166 Encyclopaedia universalis Encyclopaedia universalis France 1968 p 177 Pistil sureleve par un gynophore dans les groupes basaux Henk de Wit Les plantes du monde Hachette 1963 p 244 Philippe Jauzein et Olivier Nawrot Flore d Ile de France Cles de determination taxonomie statuts Editions Quae 2013 p 247 en Louis Philippe Ronse De Craene Floral development and anatomy of Pentadiplandra Pentadiplandraceae a key genus in the identification of floral morphological trends in the core Brassicales Revue canadienne de botanique vol 80 no 5 2002 p 443 DOI 10 1139 b02 021 Voir aussiSur les autres projets Wikimedia Brassicaceae sur Wikimedia CommonsBrassicaceae sur Wikispecies Bibliographie en I A Al Shehbaz M A Beilstein E A Kellogg Systematics and phylogeny of the Brassicaceae Cruciferae an overview Plant Systematics and Evolution vol 259 nos 2 4 juillet 2006 p 89 120 DOI 10 1007 s00606 006 0415 z Articles connexes Hernie des Cruciferes Glossaire de botaniqueLiens externes fr Belles fleurs de France Brassicaceae fr Belles fleurs de France 2 Brassicaceae en Flora of China Brassicaceae en Madagascar Catalogue Brassicaceae en Flora of Chile Brassicaceae fr Tela Botanica France metro Brassicaceae en Tree of Life Web Project Brassicaceae fr en ITIS Brassicaceae en NCBI Brassicaceae taxons inclus en Angiosperm Phylogeny Website Brassicoideae liste genres chez Kew Gardens en DELTA Angio Brassicaceae Voir aussi Koch MA Kiefer M German DA Al Shehbaz IA Franzke A Mummenhoff K Schmickl R 2012 BrassiBase Tools and biological resources to study characters and traits in the Brassicaceae version 1 1 TAXON 61 5 1001 1009 Capparaceae Cleomaceae Portail de la botanique

Derniers articles
  • Mai 25, 2025

    Pictogramme

  • Mai 25, 2025

    Phéophycées

  • Mai 25, 2025

    Phragmocône

  • Mai 25, 2025

    Phragmatopoma

  • Mai 25, 2025

    Photosynthèse

www.NiNa.Az - Studio

    Entrer en contact
    Langages
    Contactez-nous
    DMCA Sitemap
    © 2019 nina.az - Tous droits réservés.
    Droits d'auteur: Dadash Mammadov
    Un site Web gratuit qui permet le partage de données et de fichiers du monde entier.
    Haut